Médicaments
Le laboratoire Roche, en accord avec l'EMA (Agence européenne du médicament) et l'ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé), informe du risque de survenue de réactions d'hypersensibilité et de réactions liées à la perfusion d'AVASTIN solution à diluer pour perfusion à 25 mg/ml.
Ce risque a été identifié chez jusqu'à 5 % des patients traités par AVASTIN dans les essais cliniques.
Les réactions sont majoritairement légères à modérées.
Des réactions plus graves ont été rapportées chez 0,2 % des patients.
Une prémédication systématique n'est pas justifiée.
Les patients doivent être étroitement surveillés pendant et après une perfusion d'AVASTIN.
En cas de survenue d'une réaction, la perfusion doit être arrêtée et un traitement adapté doit être instauré. La décision de réinstaurer le traitement chez un patient doit être basée sur des objectifs thérapeutiques individuels et sur une évaluation précise de la sévérité de la réaction d'hypersensibilité liée à la perfusion.
Pour mémoire :
AVASTIN est indiqué en association :
Ce risque a été identifié chez jusqu'à 5 % des patients traités par AVASTIN dans les essais cliniques.
Les réactions sont majoritairement légères à modérées.
Des réactions plus graves ont été rapportées chez 0,2 % des patients.
Une prémédication systématique n'est pas justifiée.
Les patients doivent être étroitement surveillés pendant et après une perfusion d'AVASTIN.
En cas de survenue d'une réaction, la perfusion doit être arrêtée et un traitement adapté doit être instauré. La décision de réinstaurer le traitement chez un patient doit être basée sur des objectifs thérapeutiques individuels et sur une évaluation précise de la sévérité de la réaction d'hypersensibilité liée à la perfusion.
Pour mémoire :
AVASTIN est indiqué en association :
- à une chimiothérapie à base de fluoropyrimidine chez les patients atteints de cancer colorectal métastatique ;
- au paclitaxel ou au docétaxel en traitement de première ligne chez des patients atteints de cancer du sein métastatique ;
- à une chimiothérapie à base de sels de platine en traitement de première ligne chez les patients atteints de cancer bronchique non à petites cellules, avancé et non opérable, métastatique ou en rechute, dès lors que l'histologie n'est pas à prédominance épidermoïde ;
- à l'interféron alfa-2a en traitement de première ligne, chez les patients atteints de cancer du rein avancé et/ou métastatique.
Sources
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