Médicaments
Le laboratoire Roche, en accord avec l'ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé), rappelle aux professionnels de santé que l'association d'AVASTIN au malate de sunitinib (SUTENT) n'est actuellement autorisée dans aucune indication.
Les données cliniques sont insuffisantes pour conclure de façon définitive sur la sécurité d'emploi de cette association.
Cette information fait suite à l'observation d'événements indésirables survenus lors d'un essai de phase I évaluant AVASTIN en association à des doses croissantes de malate de sunitinib, chez des patients atteints de cancer du rein métastatique.
Cinq des douze patients ayant reçu la dose la plus élevée de malate de sunitinib (50 mg par jour) ont présenté des anomalies biologiques évoquant une anémie hémolytique micro-angiopathique.
Deux des cinq cas ont été considérés comme sévères.
Les événements indésirables ont été réversibles dans les 3 semaines suivant l'arrêt des deux médicaments.
Pour mémoire :
AVASTIN est autorisé en association :
Les données cliniques sont insuffisantes pour conclure de façon définitive sur la sécurité d'emploi de cette association.
Cette information fait suite à l'observation d'événements indésirables survenus lors d'un essai de phase I évaluant AVASTIN en association à des doses croissantes de malate de sunitinib, chez des patients atteints de cancer du rein métastatique.
Cinq des douze patients ayant reçu la dose la plus élevée de malate de sunitinib (50 mg par jour) ont présenté des anomalies biologiques évoquant une anémie hémolytique micro-angiopathique.
Deux des cinq cas ont été considérés comme sévères.
Les événements indésirables ont été réversibles dans les 3 semaines suivant l'arrêt des deux médicaments.
Pour mémoire :
AVASTIN est autorisé en association :
- à une chimiothérapie à base de fluoropyrimidine dans le traitement du cancer colorectal métastatique ;
- au paclitaxel dans le traitement de première ligne du cancer du sein métastatique ;
- à une chimiothérapie à base de sels de platine dans le traitement de première ligne du cancer bronchique non à petites cellules, avancé et non opérable, métastatique ou en rechute, dès lors que l'histologie n'est pas à prédominance épidermoïde ; à l'interféron alfa-2a dans le traitement de première ligne du cancer du rein avancé et/ou métastatique.
Sources
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