Médicaments
Suite à l'identification de fragments d'ADN du circovirus porcin de type 1 dans des lots de vaccins ROTARIX, l'ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) avait recommandé dès le mois de mars 2010, à titre de précaution, de ne pas utiliser ce vaccin.
A ce jour et dans l'attente des conclusions de l'évaluation européenne dont les résultats définitifs seront connus en juillet 2010, l'ANSM a décidé de maintenir cette recommandation.
L'ANSM recommande également un usage attentif et sélectif du vaccin ROTATEQ, prenant en compte les situations individuelles de vulnérabilité particulièrement forte aux infections à rotavirus qui nécessitent une vaccination.
Cette recommandation française diffère de la recommandation de l'Agence européenne. En effet, dans le cadre de l'évaluation en cours des données transmises par les laboratoires GlaxoSmithKline Biologicals et Sanofi Pasteur MSD pour connaître l'origine de la contamination et analyser sa portée, le comité scientifique de l'EMA (Agence européenne des médicaments) a confirmé qu il ne lui paraissait pas nécessaire de mettre en place des actions particulières car, en l'état des connaissances, le virus n'est pas connu pour provoquer des maladies chez l'homme, et aucun signal de pharmacovigilance n'a été rapporté à l'échelon international.
A ce jour et dans l'attente des conclusions de l'évaluation européenne dont les résultats définitifs seront connus en juillet 2010, l'ANSM a décidé de maintenir cette recommandation.
L'ANSM recommande également un usage attentif et sélectif du vaccin ROTATEQ, prenant en compte les situations individuelles de vulnérabilité particulièrement forte aux infections à rotavirus qui nécessitent une vaccination.
Cette recommandation française diffère de la recommandation de l'Agence européenne. En effet, dans le cadre de l'évaluation en cours des données transmises par les laboratoires GlaxoSmithKline Biologicals et Sanofi Pasteur MSD pour connaître l'origine de la contamination et analyser sa portée, le comité scientifique de l'EMA (Agence européenne des médicaments) a confirmé qu il ne lui paraissait pas nécessaire de mettre en place des actions particulières car, en l'état des connaissances, le virus n'est pas connu pour provoquer des maladies chez l'homme, et aucun signal de pharmacovigilance n'a été rapporté à l'échelon international.
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