Mise à jour : 27 mars 2025
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Information patient
  • DORZOLAMIDE/TIMOLOL ZENTIVA
Fiche révisée le 15 octobre 2018
Famille du médicament : Collyre antiglaucomateux

Ce médicament est un générique de COSOPT

Dans quel cas le médicament DORZOLAMIDE/TIMOLOL ZENTIVA est-il prescrit ?

Ce collyre associe deux substances qui ont la propriété de diminuer la pression des liquides contenus dans l'œil (tension intraoculaire) :
  • un inhibiteur de l'anhydrase carbonique (dorzolamide), qui bloque une enzyme active sur la sécrétion des liquides contenus dans l'œil ;
  • un bêtabloquant (timolol).

Il est utilisé dans le traitement des maladies dues à un excès de tension intraoculaire, notamment du glaucome à angle ouvert, lorsqu'un collyre bêtabloquant seul est insuffisant.

Vous pouvez consulter le(s) article(s) suivants :

Présentations du médicament DORZOLAMIDE/TIMOLOL ZENTIVA

DORZOLAMIDE/TIMOLOL ZENTIVA : collyre ; flacon de 5 ml
Ordonnance obligatoire (Liste I) - Remboursable à 65% - Prix : 5.53 €

Les prix mentionnés ne tiennent pas compte des « honoraires de dispensation » du pharmacien.

Composition du médicament DORZOLAMIDE/TIMOLOL ZENTIVA

p ml
Dorzolamide20 mg
Timolol5 mg
Benzalkonium chlorure+

La liste des excipients est consultable sur la page produit de chaque médicament de la gamme (pour la consulter, cliquer sur un nom du médicament).

Contre-indications du médicament DORZOLAMIDE/TIMOLOL ZENTIVA

Compte tenu de l'absorption du collyre par l'œil et du passage du médicament dans le sang, ce collyre ne doit pas être utilisé dans les cas suivants :
  • asthme ou bronchite chronique grave,
  • rythme cardiaque inférieur à 50 battements par minute,
  • bloc auriculoventriculaire grave,
  • insuffisance cardiaque grave,
  • insuffisance rénale grave.

Attention

Pensez à signaler à votre ophtalmologiste tous vos antécédents médicaux avant la première prescription : des précautions sont nécessaires en cas de forme grave de phénomène de Raynaud, d'angine de poitrine, d'insuffisance hépatique, d'antécédent de calculs rénaux, d'allergie aux sulfamides (auxquels le dorzolamide est apparenté) ou aux ammoniums quaternaires (présence de benzalkonium).

En cas de réaction allergique, ne poursuivez pas le traitement sans l'avis de votre médecin.

Chez les diabétiques, les bêtabloquants peuvent masquer certains symptômes de l'hypoglycémie (palpitations et accélération du cœur essentiellement).

Les bêtabloquants aggravent les symptômes des chocs allergiques et nuisent à l'efficacité de l'adrénaline utilisée pour les traiter en urgence. Signalez à votre médecin tout antécédent de choc allergique, même ancien.

En cas d'intervention chirurgicale, prévenez l'anesthésiste que vous suivez ce traitement.

Attention : sportifSportif : ce médicament contient une substance susceptible de rendre positifs certains tests antidopage.

Attention : conducteurCompte-tenu de la possibilité d'effets indésirables visuels, ce collyre peut, chez certaines personnes, constituer un risque pour la conduite automobile ou le maniement de machines dangereuses. Assurez-vous à l'occasion des premières utilisations que vous supportez bien ce collyre avant de reprendre la pratique d'une activité à risque.

Interactions du médicament DORZOLAMIDE/TIMOLOL ZENTIVA avec d'autres substances

Ce collyre peut interagir avec d'autres collyres, notamment ceux qui contiennent de l'adrénaline : respectez un intervalle de 10 minutes entre deux instillations, sauf indication contraire de votre ophtalmologiste.

Informez par ailleurs votre médecin si vous prenez des médicaments par voie orale, notamment un inhibiteur calcique, un bêtabloquant, un antiarythmique (y compris l'amiodarone), un digitalique, un antidépresseur contenant de la fluoxétine ou de la paroxétine, un antidiabétique, de la guanéthidine ou un IMAO.

Fertilité, grossesse et allaitement

L'effet de ce médicament pendant la grossesse ou l'allaitement est mal connu. Par prudence, son usage est déconseillé chez la femme enceinte ou chez celle qui allaite.

Mode d'emploi et posologie du médicament DORZOLAMIDE/TIMOLOL ZENTIVA

Tirer la paupière inférieure vers le bas tout en regardant vers le haut et déposer une goutte de collyre entre la paupière et le globe oculaire (cul-de-sac conjonctival).

Veiller à ne pas mettre en contact l'embout du flacon avec l'œil ou les doigts pour éviter de contaminer le collyre avec les germes présents sur les paupières ou la peau.

Posologie usuelle :

  • Adulte : 1 goutte, 2 fois par jour.

Conseils

L'application correcte du produit peut nécessiter une aide. Afin de diminuer le passage des substances dans le sang et d'augmenter l'action locale du médicament, il est recommandé après l'instillation d'appuyer avec votre doigt entre l'œil traité et le nez (pour obstruer le canal lacrymal) ou de fermer les paupières pendant deux minutes.

Les lentilles de contact souples doivent être ôtées avant l'instillation du collyre. Elles pourront être replacées après un délai de15 minutes.

Ne conservez pas ce collyre plus de 4 semaines après ouverture et gardez-le dans son emballage d'origine, à l'abri de la lumière.

Effets indésirables possibles du médicament DORZOLAMIDE/TIMOLOL ZENTIVA

Les effets indésirables sont liés au dorzolamide et/ou au timolol. Le plus souvent, ils sont d'intensité légère et n'entraînent pas l'arrêt du traitement.

Très fréquents (plus de 10 % des cas) : brûlures et picotements des yeux, altération du goût.

Fréquents (1 à 10 % des cas) : rougeur, irritation, démangeaisons, douleur de l'œil, larmoiement, sécheresse oculaire, sensation de corps étranger dans l'œil, érosion de la cornée, irritation ou inflammation des paupières, vision trouble, maux de tête, nausées, sinusite, fatigue.

Peu fréquents (moins de 1% des cas) : inflammation de l'iris, étourdissement, dépression, ralentissement excessif du cœur, malaise, douleurs d'estomac, lithiase urinaire.

Rares (moins de 0,1 % des cas) : formation de croûtes sur le bord des paupières, insomnie, cauchemars, fourmillements, bourdonnements d'oreille, saignement de nez, diarrhées, bouche sèche, chute de tension, bloc auriculoventriculaire, insuffisance cardiaque, bronchospasme, hypoglycémie, phénomène de Raynaud, éruption cutanée, perte de cheveux, aggravation d'un psoriasis, baisse de la libido, réaction allergique.

Vous avez ressenti un effet indésirable susceptible d’être dû à ce médicament, vous pouvez le déclarer en ligne.

Lexique :

Terme Définition
allergie

Réaction cutanée (démangeaisons, boutons, gonflement) ou malaise général apparaissant après un contact avec une substance particulière, l'utilisation d'un médicament ou l'ingestion d'un aliment. Les principales formes d'allergie sont l'eczéma, l'urticaire, l'asthme, l'œdème de Quincke et le choc allergique (choc anaphylactique). L'allergie alimentaire peut également se traduire par des troubles digestifs.

ammonium quaternaire

Famille d'antiseptiques présents dans de nombreux médicaments d'usage local. Généralement bien supportés, ils peuvent cependant donner lieu à de rares allergies.

angine

Infection douloureuse du pharynx (gorge) et des amygdales provoquant de la fièvre. La majorité des angines est due à des virus. Dans 20  % des cas chez les enfants (10 % des cas chez les adultes), l'angine est due à une bactérie, un streptocoque du groupe A. Les angines à streptocoques du groupe A justifient un traitement antibiotique pour prévenir de possibles complications : infection généralisée (septicémie), rhumatisme articulaire aigu, problèmes cardiaques, etc.

Consultez l'article : Angine et mal de gorge de l’adulte ou Angine et mal de gorge de l’enfant

angine de poitrine

Douleur oppressante due à une obstruction partielle des artères coronaires qui irriguent le muscle cardiaque. Elle peut se manifester dans la poitrine, les bras ou la mâchoire.

Synonyme : angor.

antiarythmique

Médicament indiqué dans les troubles du rythme cardiaque. La famille des antiarythmiques est divisée en classes I, II, III, IV en fonction du mode d'action de ces médicaments.

asthme

Maladie caractérisée par une difficulté à respirer, se traduisant souvent par des sifflements. L'asthme, permanent ou survenant par crise, est dû à un rétrécissement et à une inflammation des bronches.

Consultez l'article : Asthme

bloc auriculoventriculaire

Ralentissement ou blocage de la transmission de l'influx nerveux entre les oreillettes et les ventricules du cœur. Un bloc complet peut provoquer un ralentissement excessif du cœur et une perte de connaissance.

Les blocs auriculoventriculaires graves nécessitent la mise en place d'un pacemaker.

bronchite chronique

Maladie des bronches se traduisant par une toux, des difficultés respiratoires et des mucosités de plus en plus difficiles à évacuer. Ces troubles, le plus souvent dus au tabac, deviennent définitifs après une certaine période d'évolution.

Consultez l'article : Bronchite

bronchospasme

Contraction anormale des bronches entraînant une respiration difficile et souvent sifflante. Le bronchospasme est l'un des facteurs responsables de l'asthme.

calcul

Concrétion (pierre) qui se forme dans les voies excrétrices de certains organes : voies urinaires, biliaires, salivaires.

Synonyme : lithiase.

choc

Malaise brutal et grave avec chute de la pression artérielle. Les principales causes de choc sont les allergies (choc allergique ou anaphylactique), les troubles cardiovasculaires graves (choc cardiovasculaire) et les septicémies (choc septique).

collyre

Médicament servant au traitement local d'affections des yeux.

cul-de-sac conjonctival

Espace formé lorsqu'on tire vers le bas la paupière inférieure, qui se décolle de l'œil et forme une cavité. C'est dans celle-ci que doivent être déposées les gouttes de collyre et les pommades ophtalmiques. Le médicament se répartit naturellement sur la totalité de l'œil. Il sera éliminé, comme les larmes, par le canal lacrymal, qui évacue les larmes vers le nez.

digitalique

Famille de médicaments apparentés à la digitaline, substance issue de la digitale pourpre (plante commune). Les digitaliques, utilisés en cardiologie, ralentissent le cœur et renforcent ses contractions.

effet indésirable

La tendance actuelle dans les textes officiels est de rapporter la totalité des symptômes gênants observés, même exceptionnellement, chez les personnes ayant utilisé le médicament.

Certains de ces troubles sont réellement imputables au médicament, d'autres peuvent avoir été constatés alors que le médicament ne possède probablement pas de responsabilité réelle dans leur survenue.

Dans un souci d'exhaustivité, nous avons choisi de reproduire l'intégralité des troubles énumérés dans les textes officiels, bien que nous ayons conscience du risque de créer une inquiétude parfois injustifiée. L'information précise du public reste néanmoins notre principale priorité. Ayez conscience en lisant la rubrique Effets indésirables possibles que les troubles cités ne sont pas forcément imputables à la molécule utilisée.

Consultez l'article : Comprendre les effets indésirables

enzyme

Substance capable d'activer une réaction chimique spécifique.

excipient

Substance sans activité thérapeutique entrant dans la composition du médicament ou utilisée pour sa fabrication. L'excipient a pour fonction d'améliorer l'aspect ou le goût, d'assurer la conservation, de faciliter la mise en forme et l'administration du médicament. Il sert aussi à acheminer la substance active vers son site d'action et à contrôler son absorption par l'organisme.

L'excipient devrait avoir une innocuité parfaite (être bien toléré) ; néanmoins certains peuvent entraîner des réactions allergiques ou des intolérances individuelles : il s'agit des excipients à effet notoire.

Consultez l'article : Les excipients à effet notoire

germe

Terme général qui désigne tous les organismes microscopiques susceptibles de provoquer une infection : bactéries, virus, parasites, champignons.

glaucome

Maladie caractérisée par l'augmentation de la pression des liquides contenus dans l'œil (hypertension intraoculaire).

Ce terme général recouvre deux affections totalement différentes :

  • Le glaucome à angle ouvert ou glaucome chronique est le plus fréquent ; il est généralement sans symptômes, dépisté par la mesure de la tension intraoculaire chez l'ophtalmologiste. Il ne provoque pas de crise aiguë, et le traitement repose essentiellement sur des collyres bêtabloquants. Les personnes atteintes d'un glaucome à angle ouvert ne doivent pas utiliser de dérivés de la cortisone sans avis ophtalmologique préalable.
  • Le glaucome à angle fermé ou glaucome aigu est plus rare. Entre les crises, la tension intraoculaire est normale. Mais l'usage intempestif de médicaments atropiniques (notamment en collyre) provoque une crise aiguë d'hypertension intraoculaire qui peut abîmer définitivement la rétine en quelques heures. C'est une urgence ophtalmologique qui se reconnaît à un œil brutalement rouge, horriblement douloureux, dur comme une bille de verre, et dont la vision devient floue.

L'angle dont il est question dans ces deux affections est l'angle irido-cornéen. C'est en effet entre l'iris et la cornée que se situe le système d'évacuation des liquides de l'œil. Un angle peu ouvert (fermé) expose à une obstruction totale du système d'évacuation. Cette obstruction peut survenir lorsque l'iris est ouvert au maximum (mydriase) sous l'effet d'un médicament atropinique : l'iris vient alors s'accoler à la cornée.

Les contre-indications des médicaments atropiniques ne concernent que les personnes ayant déjà fait des crises de gla

goutte

Maladie se manifestant par une rougeur et une douleur vive touchant une articulation (celle du gros orteil le plus souvent), due à une accumulation de cristaux d'acide urique.

Consultez l'article : Goutte

IMAO

Abréviation d'inhibiteur de la mono-amine-oxydase. Famille de médicaments utilisés en psychiatrie et en neurologie (dépression, maladie de Parkinson). Ces médicaments sont divisés en deux types : les IMAO non sélectifs, qui sont incompatibles avec de nombreux médicaments et même certains aliments, et les IMAO sélectifs (A ou B), pour lesquels ces inconvénients sont absents ou limités.

inflammation

Réaction naturelle de l'organisme contre un élément reconnu comme étranger. Elle se manifeste localement par une rougeur, une chaleur, une douleur ou un gonflement.

inhibiteur calcique

Médicament capable d'inhiber la contraction des vaisseaux sanguins en bloquant l'entrée du calcium dans leurs parois. Il est utilisé principalement dans le traitement de l'hypertension artérielle et de l'angine de poitrine. Ce médicament n'a aucune influence sur la fixation osseuse du calcium.

Consultez les articles : Hypertension artérielle (HTA) et Angine de poitrine (Angor)

insuffisance cardiaque

Incapacité du cœur à remplir sa fonction de pompe. Les principaux symptômes de l'insuffisance cardiaque sont une fatigue et un essoufflement lors d'un effort.

Consultez les articles : Troubles du rythme cardiaque

iris

Membrane colorée située en arrière de la cornée, l'iris est couvert de pigments qui déterminent la couleur des yeux. Il est percé d'une ouverture circulaire, la pupille, par laquelle la lumière pénètre dans l'œil.

lentille de contact

Dispositif optique souple ou rigide placé sur la cornée, destiné à corriger un défaut de la vision.

Les lentilles utilisées actuellement sont toutes en matière plastique. Il en existe deux types :

  • Les lentilles rigides, plus ou moins perméables à l'oxygène. Leur faible diamètre (elles ne couvrent pas la totalité de la cornée) facilite l'oxygénation de la cornée : l'oxygène contenu dans les larmes peut diffuser sous et autour de la lentille.
  • Les lentilles souples, plus ou moins hydrophiles. Elles sont plus faciles à supporter au début, mais leur grand diamètre et leur perméabilité à l'oxygène limitée ne facilitent pas l'oxygénation de la cornée. Elles peuvent poser des problèmes de tolérance à long terme.
lithiase

Concrétion (pierre) qui se forme dans les voies excrétrices de certains organes : voies urinaires, biliaires, salivaires.

Synonyme : calcul.

palpitations

Perception anormale de battements cardiaques irréguliers.

Consultez l'article : Palpitations.

psoriasis

Maladie de la peau touchant surtout les coudes et les genoux, mais aussi les ongles et le cuir chevelu. Le psoriasis se manifeste par des plaques épaisses, rouges, et recouvertes d'une pellicule blanche adhérente. Le psoriasis peut être plus ou moins inflammatoire. Il se présente parfois sous forme de petits boutons disséminés (psoriasis en gouttes). Le psoriasis peut avoir l'aspect de pustules.

Consultez l'article : Psoriasis.

Raynaud

Troubles de la circulation sanguine des extrémités se traduisant par des fourmillements, un engourdissement et un changement de couleur transitoire des doigts ou des orteils.

sinusite

Inflammation ou infection des sinus.

Consultez l'article : Sinusite.

sulfamides

Famille chimique représentée dans plusieurs classes de médicaments : antibiotiques, antidiabétiques, diurétiques, etc. Les sulfamides peuvent être à l'origine d'allergies.

tension intraoculaire

Tension (pression) des liquides contenus dans l'œil. Elle peut augmenter dans certaines maladies comme le glaucome.

test antidopage

Les sportifs peuvent être soumis à des tests destinés à détecter la présence dans leurs urines de substances dopantes ou de leurs dérivés. Le Comité international olympique et le ministère de la Santé et des Sports tiennent à jour une liste des substances considérées comme dopantes. Ces substances sont très variées : hormones anabolisantes qui développent les muscles, excitants qui augmentent la vigilance, bêtabloquants qui ralentissent le cœur et, par exemple, permettent aux tireurs à l'arc de décocher leur flèche entre deux battements cardiaques, etc. Certains médicaments tels que les crèmes, les gouttes auriculaires, contiennent des substances considérées comme dopantes, mais la probabilité pour que ces substances passent dans le sang et soient retrouvées dans les urines est très faible. Dans le doute, l'éventualité d'une réaction positive est mentionnée pour chaque médicament lorsqu'une substance dopante est présente dans sa composition. Il appartient au sportif de décider avec son médecin s'il peut utiliser ou non un tel médicament.

voie
  • Chemin (voie d'administration) utilisé pour administrer les médicaments : voie orale, sublinguale, sous-cutanée, intramusculaire, intraveineuse, intradermique, transdermique.
  • Ensemble d'organes creux permettant le passage de l'air (voies respiratoires), des aliments (voies digestives), des urines (voies urinaires), de la bile (voies biliaires), etc.
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