Mise à jour : 27 mars 2025
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Information patient
  • IMATINIB HCS
Fiche révisée le 17 novembre 2022
Famille du médicament : Anticancéreux

Ce médicament est un générique de GLIVEC.

Dans quel cas le médicament IMATINIB HCS est-il prescrit ?

Ce médicament est un anticancéreux qui appartient à la famille des inhibiteurs de tyrosine kinase. Il agit en bloquant une enzyme spécifique, appelée tyrosine kinase Bcr-Abl, responsable de la production accrue de globules blancs. Il permet ainsi que le nombre de globules blancs dans le sang redevienne normal. Il cible également d'autres tyrosine kinases impliquées dans d'autres cancers.

Il est utilisé dans le traitement de la leucémie myéloïde chronique (LMC) et d'autres cancers du sang, du tube digestif ou de la peau.

Présentations du médicament IMATINIB HCS

IMATINIB HCS 100 mg : comprimé (orange-marron) ; boîte de 60
Ordonnance obligatoire (Liste I) - Remboursable à 100% - Prix : 384.45 €
IMATINIB HCS 400 mg : comprimé (orange-marron) ; boîte de 30
Ordonnance obligatoire (Liste I) - Remboursable à 100% - Prix : 753.46 €

Les prix mentionnés ne tiennent pas compte des « honoraires de dispensation » du pharmacien.

Composition du médicament IMATINIB HCS

p cpp cp
Imatinib100 mg400 mg

La liste des excipients est consultable sur la page produit de chaque médicament de la gamme (pour la consulter, cliquer sur un nom du médicament).

Attention

Un test de dépistage de l'hépatite B doit être systématiquement réalisé avant de débuter le traitement. En effet, ce médicament peut provoquer une inflammation très sévère ou une destruction du foie chez les patients porteurs du virus de l'hépatite B ; ces patients doivent faire l'objet d'une surveillance particulière tout au long du traitement et plusieurs mois après son arrêt.

Le traitement impose un contrôle régulier de la numération formule sanguine et des transaminases. Le suivi médical peut être renforcé en cas d'insuffisance hépatique, d'insuffisance rénale, de maladie cardiaque ou chez les patients traités par de la lévothyroxine après une ablation de la thyroïde.

Certains symptômes inhabituels doivent être signalés rapidement à votre médecin. Ils peuvent être le signe de complications potentiellement graves :
  • prise de poids rapide pouvant être le signe d'une rétention d'eau ;
  • douleur d'estomac importante, sang dans les selles ou les urines, ou selles noires ;
  • saignements ou bleus sans raison évidente, signes d'infection (tels que fièvre, frissons, maux de gorge ou aphtes), pâleur ou faiblesse.

Ce médicament expose à un risque de photosensibilité. L'exposition au soleil doit être évitée pendant le traitement. Il est nécessaire de couvrir les zones exposées au soleil avec des vêtements et d'utiliser un écran total.

En cas d'utilisation chez l'enfant, un suivi de la croissance est recommandé lors des visites de contrôles.

Attention : conducteurConducteur : ce médicament peut provoquer parfois des étourdissements et des troubles de la vue.

Interactions du médicament IMATINIB HCS avec d'autres substances

L'effet de ce médicament peut être augmenté par les inhibiteurs de protéases (indinavir, lopinavir, ritonavir, saquinavir, télaprévir, nelfinavir, bocéprévir), les médicaments contenant de kétoconazole, de l'itraconazole, de l'érythromycine ou de la clarithromycine. Il peut être diminué par les médicaments contenant de la dexaméthasone, de la phénytoïne, de la carbamazépine, de la rifampicine, du phénobarbital, de la fosphénytoïne, de la primidone ou un produit de phytothérapie contenant du millepertuis.

Demandez conseil à votre médecin traitant ou à votre pharmacien avant la prise de tout autre médicament.

Fertilité, grossesse et allaitement

Grossesse :

Ce médicament peut être responsable d'anomalies chez l'enfant à naître en cas de prise pendant la grossesse. Il ne doit pas être utilisé chez la femme enceinte, sauf en cas de nécessité absolue. Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception efficace pendant le traitement et pendant au moins les 15 jours qui suivent son arrêt.

Allaitement :

L'utilisation de ce médicament contre-indique l'allaitement.

Mode d'emploi et posologie du médicament IMATINIB HCS

Les comprimés doivent être avalés au cours d'un repas avec un grand verre d'eau afin de réduire le risque d'irritation de l'estomac et des intestins.

Pour les patients qui ne peuvent pas avaler les comprimés, il est possible de désagréger les comprimés dans un verre d'eau minérale ou de jus de pomme (approximativement 50 ml pour un comprimé à 100 mg et 200 ml pour un comprimé à 400 mg). La suspension ainsi obtenue doit être bue immédiatement après désagrégation complète du ou des comprimés.

Posologie usuelle :

La posologie dépend de la maladie traitée, de l'âge et de l'état général du patient. Elle ne doit pas dépasser 800 mg par jour.

Conseils

Il est recommandé de boire abondamment pendant le traitement.

Le traitement peut provoquer des nausées et des vomissements. Pour contribuer à les limiter vous pouvez faire des repas fréquents et peu abondants, en évitant la friture et les aliments gras ou fortement odorants.

L'efficacité du traitement est maximale si vous respectez strictement les doses et les modalités de prises.

Conditions particulières de délivrance :

Ce médicament est un médicament à prescription restreinte : il doit obligatoirement être prescrit pour la première fois à l'hôpital par un spécialiste en hématologie, en cancérologie, en gastro-entérologie ou en médecine interne. Les ordonnances de renouvellement peuvent être rédigées par un spécialiste en ville. Elles doivent être présentées au pharmacien accompagnées de la prescription hospitalière initiale, valable 6 mois.

Effets indésirables possibles du médicament IMATINIB HCS

Très fréquents (plus de 10 % des patients) : maux de tête, nausées, vomissements, diarrhée, digestion difficile, douleur abdominale, éruption cutanée, crampes, douleurs osseuses, articulaires ou musculaires, gonflement des chevilles ou autour de l'œil, prise de poids, baisse du nombre des plaquettes, des globules rouges ou des globules blancs, fatigue.

Fréquents (1 à 10 % des patients) : perte d'appétit ou de poids, insomnie, sensations vertigineuses, fourmillements, troubles du goût ou de la sensibilité, ballonnements, brûlure d'estomac, constipation, bouche sèche, gonflement des paupières, yeux rouges ou secs, vision trouble, bouffées de chaleur, frissons, essoufflement, toux, saignement de nez, démangeaisons, peau sèche, sueurs nocturnes, chute de cheveux, photosensibilité, gonflement des articulations, faiblesse, fièvre, frissons, augmentation des transaminases.

Peu fréquents (moins de 1 % des patients) : augmentation de l'appétit, inflammation de la bouche ou de l'œsophage, rots, ulcère de l'estomac, pancréatite, déshydratation, goutte, dépression, baisse de libido, anxiété, migraine, somnolence, malaise, troubles de la mémoire, syndrome des jambes sans repos, tremblements, transpiration excessive, urticaire, bleus, ongles cassants, bleus, modification de la pigmentation de la peau, psoriasis, purpura, éruption bulleuse, tremblements, sciatique, irritation ou douleur oculaire, inflammation du bords des paupières, saignement dans l'œil, vertiges, bourdonnements d'oreille, perte d'audition, palpitations, tachycardie, insuffisance cardiaque, syndrome de Raynaud, mal de gorge, zona, herpès, infections respiratoires, nasales, digestives, urinaires, ganglions, raideur musculaire, présence de sang dans les urines, envie fréqunte d'uriner, gynécomastie, troubles des règles, troubles sexuels, douleur des mamelons, jaunisse, hépatite, anomalie des examens biologiques.

Rares (moins de 1 patient sur 1 000) : confusion des idées, convulsions, cataracte, glaucome, troubles du rythme cardiaque, infarctus du myocarde, angine de poitrine, atteinte des poumons, inflammation du côlon, réaction cutanée toxique potentiellement grave, insuffisance rénale.

Fréquence indéterminée : réaction allergique (choc), occlusion intestinale, réactivation de l'hépatite B, retard de croissance chez l'enfant.

Vous avez ressenti un effet indésirable susceptible d’être dû à ce médicament, vous pouvez le déclarer en ligne.

Lexique :

Terme Définition
angine

Infection douloureuse du pharynx (gorge) et des amygdales provoquant de la fièvre. La majorité des angines est due à des virus. Dans 20  % des cas chez les enfants (10 % des cas chez les adultes), l'angine est due à une bactérie, un streptocoque du groupe A. Les angines à streptocoques du groupe A justifient un traitement antibiotique pour prévenir de possibles complications : infection généralisée (septicémie), rhumatisme articulaire aigu, problèmes cardiaques, etc.

Consultez l'article : Angine et mal de gorge de l’adulte ou Angine et mal de gorge de l’enfant

angine de poitrine

Douleur oppressante due à une obstruction partielle des artères coronaires qui irriguent le muscle cardiaque. Elle peut se manifester dans la poitrine, les bras ou la mâchoire.

Synonyme : angor.

aphte

Lésion très douloureuse de la bouche, ayant l'aspect d'une tache jaunâtre ou grise, légèrement creusée. La guérison est généralement spontanée après quelques jours.

Le stress, la fatigue et certains aliments (noix, noisettes, gruyère, agrumes...) peuvent provoquer une poussée d'aphtes. Dans de très rares cas, les aphtes peuvent être dus à une maladie ou à un traitement médicamenteux.

Consultez l'article : Aphtes

ballonnement

Accumulation d'air ou de gaz dans l'intestin.

Consultez l'article : Ballonnement, flatulence et aérophagie

cancer

Maladie due au développement anarchique et incontrôlable de certaines cellules de l'organisme. Ces cellules anormales, capables de se multiplier indéfiniment, peuvent envahir des organes ou des vaisseaux sanguins et lymphatiques, formant à distance de nouvelles tumeurs, appelées métastases. On classe les cancers en tumeurs solides (qui se développent à partir d'un organe visible) et en tumeurs liquidiennes, qui proviennent des cellules de la moelle osseuse (leucémies notamment).

Consultez les articles : Les cancers

cataracte

Opacification progressive du cristallin. Elle peut être due au vieillissement, à une maladie ou à l'usage prolongé de certains médicaments comme les corticoïdes.

Consultez l'article : Cataracte

choc

Malaise brutal et grave avec chute de la pression artérielle. Les principales causes de choc sont les allergies (choc allergique ou anaphylactique), les troubles cardiovasculaires graves (choc cardiovasculaire) et les septicémies (choc septique).

confusion

Une personne atteinte de confusion souffre de désorientation, d'anxiété et de troubles de la mémoire. La confusion peut être due à un trouble neurologique, à une infection ou à une intoxication (par exemple par un médicament).

constipation

Ralentissement du transit intestinal se traduisant par la raréfaction des selles.

Consultez l'article : Constipation de l’adulte ou Constipation de bébé et de l'enfant

convulsions

Contractions involontaires limitées à quelques muscles ou généralisées à tout le corps. Elles sont dues à une souffrance ou à une stimulation excessive du cerveau : fièvre, intoxication, manque d'oxygène, lésion du cerveau. Les convulsions peuvent être dues à une crise d'épilepsie ou à une fièvre élevée chez le jeune enfant.

effet indésirable

La tendance actuelle dans les textes officiels est de rapporter la totalité des symptômes gênants observés, même exceptionnellement, chez les personnes ayant utilisé le médicament.

Certains de ces troubles sont réellement imputables au médicament, d'autres peuvent avoir été constatés alors que le médicament ne possède probablement pas de responsabilité réelle dans leur survenue.

Dans un souci d'exhaustivité, nous avons choisi de reproduire l'intégralité des troubles énumérés dans les textes officiels, bien que nous ayons conscience du risque de créer une inquiétude parfois injustifiée. L'information précise du public reste néanmoins notre principale priorité. Ayez conscience en lisant la rubrique Effets indésirables possibles que les troubles cités ne sont pas forcément imputables à la molécule utilisée.

Consultez l'article : Comprendre les effets indésirables

enzyme

Substance capable d'activer une réaction chimique spécifique.

excipient

Substance sans activité thérapeutique entrant dans la composition du médicament ou utilisée pour sa fabrication. L'excipient a pour fonction d'améliorer l'aspect ou le goût, d'assurer la conservation, de faciliter la mise en forme et l'administration du médicament. Il sert aussi à acheminer la substance active vers son site d'action et à contrôler son absorption par l'organisme.

L'excipient devrait avoir une innocuité parfaite (être bien toléré) ; néanmoins certains peuvent entraîner des réactions allergiques ou des intolérances individuelles : il s'agit des excipients à effet notoire.

Consultez l'article : Les excipients à effet notoire

ganglions

Terme généralement utilisé pour désigner les ganglions lymphatiques : ces organes filtrent la lymphe (le liquide qui baigne les cellules du corps). Lors d'infection, les ganglions piègent les germes et réagissent en devenant volumineux et douloureux. Les ganglions sont répartis dans l'ensemble du corps, et regroupés par endroits (au niveau du cou, des aisselles et de l'aine, par exemple).

glaucome

Maladie caractérisée par l'augmentation de la pression des liquides contenus dans l'œil (hypertension intraoculaire).

Ce terme général recouvre deux affections totalement différentes :

  • Le glaucome à angle ouvert ou glaucome chronique est le plus fréquent ; il est généralement sans symptômes, dépisté par la mesure de la tension intraoculaire chez l'ophtalmologiste. Il ne provoque pas de crise aiguë, et le traitement repose essentiellement sur des collyres bêtabloquants. Les personnes atteintes d'un glaucome à angle ouvert ne doivent pas utiliser de dérivés de la cortisone sans avis ophtalmologique préalable.
  • Le glaucome à angle fermé ou glaucome aigu est plus rare. Entre les crises, la tension intraoculaire est normale. Mais l'usage intempestif de médicaments atropiniques (notamment en collyre) provoque une crise aiguë d'hypertension intraoculaire qui peut abîmer définitivement la rétine en quelques heures. C'est une urgence ophtalmologique qui se reconnaît à un œil brutalement rouge, horriblement douloureux, dur comme une bille de verre, et dont la vision devient floue.

L'angle dont il est question dans ces deux affections est l'angle irido-cornéen. C'est en effet entre l'iris et la cornée que se situe le système d'évacuation des liquides de l'œil. Un angle peu ouvert (fermé) expose à une obstruction totale du système d'évacuation. Cette obstruction peut survenir lorsque l'iris est ouvert au maximum (mydriase) sous l'effet d'un médicament atropinique : l'iris vient alors s'accoler à la cornée.

Les contre-indications des médicaments atropiniques ne concernent que les personnes ayant déjà fait des crises de gla

globule blanc

Cellule présente dans le sang. Il en existe différents types : les polynucléaires neutrophiles, qui augmentent lors des infections ; les polynucléaires éosinophiles, dont le nombre est élevé chez les personnes allergiques ou en cas de parasitose ; les polynucléaires basophiles ; les lymphocytes et monocytes, dont le nombre s'élève en cas d'infection virale ou d'atteinte de la moelle osseuse.

globule rouge

Cellule présente dans le sang (5 millions par mm3), qui contient l'hémoglobine.

Synonyme : hématie.

goutte

Maladie se manifestant par une rougeur et une douleur vive touchant une articulation (celle du gros orteil le plus souvent), due à une accumulation de cristaux d'acide urique.

Consultez l'article : Goutte

infarctus du myocarde

Destruction d'une partie du muscle cardiaque (myocarde), privé de sang par obstruction de ses artères.

Consultez l'article : Après un infarctus du myocarde

inflammation

Réaction naturelle de l'organisme contre un élément reconnu comme étranger. Elle se manifeste localement par une rougeur, une chaleur, une douleur ou un gonflement.

insuffisance cardiaque

Incapacité du cœur à remplir sa fonction de pompe. Les principaux symptômes de l'insuffisance cardiaque sont une fatigue et un essoufflement lors d'un effort.

Consultez les articles : Troubles du rythme cardiaque

migraine

Mal de tête particulier touchant généralement la moitié droite ou gauche de la tête, souvent associé à une crainte de la lumière et du bruit.

Consultez l'article : Maux de tête et migraine.

palpitations

Perception anormale de battements cardiaques irréguliers.

Consultez l'article : Palpitations.

posologie

Quantité et répartition de la dose d'un médicament en fonction de l'âge, du poids et de l'état général du malade.

psoriasis

Maladie de la peau touchant surtout les coudes et les genoux, mais aussi les ongles et le cuir chevelu. Le psoriasis se manifeste par des plaques épaisses, rouges, et recouvertes d'une pellicule blanche adhérente. Le psoriasis peut être plus ou moins inflammatoire. Il se présente parfois sous forme de petits boutons disséminés (psoriasis en gouttes). Le psoriasis peut avoir l'aspect de pustules.

Consultez l'article : Psoriasis.

purpura

Taches cutanées rouges ou violacées dues à de petites hémorragies sous-cutanées. Le purpura thrombopénique est provoqué par une baisse importante du nombre de plaquettes dans le sang.

Raynaud

Troubles de la circulation sanguine des extrémités se traduisant par des fourmillements, un engourdissement et un changement de couleur transitoire des doigts ou des orteils.

sciatique

Névralgie du nerf sciatique. Elle est souvent due à une hernie discale.

Consultez l'article : Douleur sciatique.

syndrome

Ensemble de symptômes fréquemment associés ; un syndrome grippal, par exemple, associe une fièvre élevée, des courbatures et un mal de tête. Un même syndrome peut être présent dans des maladies de causes différentes.

syndrome des jambes sans repos

Affection chronique se traduisant par un besoin irrésistible de bouger les jambes, le plus souvent la nuit. Les crises, qui associent à des degrés divers des sensations de fourmillements, de picotements, de démangeaisons, voire de brûlures, sont favorisées par l'immobilité et en partie soulagées par le mouvement. Elles sont souvent responsables d'une insomnie. Cette pathologie serait due à des troubles du système nerveux central et/ou à un dysfonctionnement des nerfs périphériques.

Consultez l'article : Syndrome des jambes sans repos (impatiences).

tachycardie

Accélération du rythme des battements du cœur. Elle peut être due à une fièvre, à une hyperthyroïdie, à une maladie cardiaque, à l'action de certains médicaments, etc.

Consultez l'article : Tachycardie et bradycardie.

transaminases

Enzymes dosées dans le sang, dont le taux s'élève lors de certaines hépatites. Elles figurent dans les analyses de sang sous le nom de SGOT et SGPT ou ASAT et ALAT.

trouble du rythme cardiaque

Anomalie grave ou bénigne de la fréquence des contractions du cœur. L'extrasystole est une contraction survenant juste avant ou après une contraction normale, souvent perçue comme un léger choc dans la poitrine. La fibrillation est une contraction irrégulière et désordonnée. D'autres troubles existent : torsades de pointes, syndrome de Wolf-Parkinson-White, maladie de Bouveret, tachysystolie, flutter et bloc auriculoventriculaire, etc.

Consultez l'article : Troubles du rythme cardiaque.

urticaire

Éruption de boutons sur la peau, dont l'origine est le plus souvent allergique. Les boutons ressemblent à des piqûres d'orties et leur couleur varie du rose pâle au rouge.

vertige

Symptôme qui peut désigner une impression de perte d'équilibre (sens commun) ou, plus strictement, une sensation de rotation sur soi-même ou de l'environnement (sens médical).

Consultez l'article : Vertiges.

virus

Organisme microscopique qui pénètre dans les cellules de l'hôte, où il se reproduit. Beaucoup plus petits que les bactéries, les virus sont insensibles aux antibiotiques. Ils peuvent parfois être détruits par des substances antivirales.

zona

Éruption douloureuse de boutons due à une réactivation du virus de la varicelle, resté dans un ganglion nerveux après cette maladie infantile.

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