- LÉVOFLOXACINE ALMUS
Ce médicament est un générique de TAVANIC.
Dans quel cas le médicament LÉVOFLOXACINE ALMUS est-il prescrit ?
Ce médicament est un antibiotique de la famille des quinolones (également appelées fluoroquinolones). Du fait de l'apparition de résistance à cette famille d'antibiotiques et d'un risque d'effets indésirables graves et durables, l'utilisation des fluoroquinolones est habituellement réservée au traitement des infections sévères pour lesquelles d'autres antibiotiques ne sont pas appropriés ou ne peuvent pas être utilisés.
- des infections des voies urinaires et de la prostate,
- des infections des sinus, des voies respiratoires, de la peau et des tissus mous (par exemple, les muscles).
Il peut être également utilisé pour traiter la maladie du charbon, une maladie pulmonaire devenue très rare en Europe, ou en prévention après exposition à la bactérie responsable de la maladie.
Vous pouvez consulter le(s) article(s) suivants :
Présentations du médicament LÉVOFLOXACINE ALMUS
Les prix mentionnés ne tiennent pas compte des « honoraires de dispensation » du pharmacien.
Composition du médicament LÉVOFLOXACINE ALMUS
p cp | |
Lévofloxacine | 500 mg |
La liste des excipients est consultable sur la page produit de chaque médicament de la gamme (pour la consulter, cliquer sur un nom du médicament).
Contre-indications du médicament LÉVOFLOXACINE ALMUS
- allergie aux antibiotiques de la famille des quinolones,
- antécédent de tendinite lors de l'utilisation d'une fluoroquinolone,
- épilepsie,
- enfant jusqu'à la fin de la croissance,
- grossesse,
- allaitement.
Attention
Ce médicament, comme les autres fluoroquinolones, peut être responsable d'une photosensibilisation et, dans de rares cas, d'effets indésirables invalidants et parfois durables : lésions des tendons, troubles psychiques, atteinte du système nerveux. Il peut également augmenter le risque de problèmes cardiovasculaires graves (rupture de l'aorte, dysfonctionnement des valves cardiaques, troubles du rythme cardiaque). La survenue de certains symptômes doit vous conduire à arrêter le traitement et à consulter immédiatement votre médecin :
- toute douleur ou gonflement évoquant une tendinite. Votre médecin jugera alors des mesures à prendre. Les lésions tendineuses peuvent survenir dès les premiers jours de traitement et jusqu'à plusieurs mois après son arrêt. Pensez à informer votre médecin si vous avez une activité sportive soutenue ou si vous prenez un traitement prolongé par corticoïde ;
- coups de soleil intenses ou inattendus en cas d'exposition aux rayons ultraviolets (soleil, lampe à bronzer). Évitez toute exposition au soleil pendant le traitement et les 48 heures qui suivent son arrêt. ;
- éruption cutanée, plaques rouges sur la peau ou brûlure des muqueuses sans cause évidente ;
- fourmillements, picotements, faiblesse musculaire, sensation de brûlure dans les extrémités ;
- baisse de la vision ou apparition de tout autre trouble oculaire ;
- palpitations ou sensation de battements du cœur irréguliers ou trop rapide, essoufflement, gonflement des chevilles.
L'apparition soudaine de douleurs intenses au niveau de l'abdomen, de la poitrine ou du dos impose de contacter le 15 ou de se rendre immédiatement dans un service d'urgence.
Des atteines hépatiques ont également été observées. Prenez l'avis de votre médecin en cas de perte d'appétit, de jaunisse, de selles décolorées et d'urines foncées ou de démangeaisons diffuses et importantes.
Toute diarrhée importante ou persistante survenant pendant ou après le traitement antibiotique doit être signalée à votre médecin.
Prévenez votre médecin en cas d'insuffisance rénale, de déficit en G6PD, de myasthénie, de troubles psychiques, même anciens, de situations favorisant les torsades de pointes (ralentissement important du cœur, insuffisance cardiaque, antécédent d'infarctus du myocarde, hypokaliémie, anomalie de l'électrocardiogramme), d'antécédent familial d'anévrisme, de préexistence d'anévrisme ou de dysfonctionnement des valves cardiaques ou de facteur de risque (maladie de Horton, maladie de Behçet, hypertension artérielle, athérosclérose…), de diabète ou si vous avez eu un traitement par une fluoroquinolone depuis moins de 6 mois.
Ce médicament peut fausser certains tests de laboratoire. Signalez votre traitement à votre laboratoire d'analyses.
Conducteur : ce médicament peut provoquer des troubles nerveux susceptibles d'altérer la capacité à se concentrer et à réagir. Assurez-vous que vous le supportez bien avant de conduire ou d'utiliser une machine dangereuse.
Interactions du médicament LÉVOFLOXACINE ALMUS avec d'autres substances
Informez votre médecin si vous prenez un médicament favorisant les torsades de pointes (antiarythmique, antidépresseur imipraminique, neuroleptique...), un traitement prédisposant aux convulsions (théophylline, AINS...), un anticoagulant oral (un contrôle plus fréquent de l'INR peut être nécessaire) ou un médicament contenant du probénécide, de la cimétidine ou de la ciclosporine.
Il est préférable de respecter un délai de 2 heures entre la prise de ce médicament et celle des pansements digestifs (contenant des sels d'aluminium, de calcium ou de magnésium) ou des médicaments contenant du fer, du zinc ou du sucralfate.
Fertilité, grossesse et allaitement
Grossesse :
En raison d'un risque théorique de lésion du cartilage pour l'enfant à naître, ce médicament ne doit pas être utilisé chez la femme enceinte.
Allaitement :
Ce médicament passe dans le lait maternel : l'allaitement est contre-indiqué.
Mode d'emploi et posologie du médicament LÉVOFLOXACINE ALMUS
Les comprimés doivent être avalés tels quels avec un verre d'eau, indifféremment au cours ou en dehors des repas.
Posologie usuelle :
- Adulte : 1 comprimé, 1 ou 2 fois par jour. La durée du traitement varie habituellement entre 7 et 28 jours en fonction de l'infection. Dans la maladie du Charbon, la durée du traitement est de plusieurs semaines.
Une adaptation de la posologie est nécessaire en cas d'insuffisance rénale.
Conseils
Le médecin prescrit parfois un prélèvement pour identifier le germe responsable de l'infection et tester sa sensibilité aux antibiotiques. Le résultat de cet examen peut être faussé en cas d'automédication préalable : ne prenez pas d'antibiotiques sans avis médical.
Effets indésirables possibles du médicament LÉVOFLOXACINE ALMUS
Fréquents (1 à 10 % des utilisateurs) : nausées, diarrhée, vomissements, insomnie, maux de tête, vertiges, augmentation des transaminases.
Peu fréquents (1 à 0,1 % des utilisateurs) : douleurs abdominales, ballonnements, constipation, somnolence, tremblements, troubles du goût, fatigue, anxiété, confusion des idées, nervosité, essoufflement, douleurs musculaires ou articulaires, démangeaisons, éruption cutanée, urticaire.
Rares (moins de 1 utilisateur sur 1 000) : fourmillement des extrémités, tremblements, agitation, dépression, troubles psychiques (hallucinations...), cauchemars, convulsions, tachycardie, bourdonnement d'oreilles, tendinite (voir Attention), faiblesse musculaire (en particulier chez les personnes souffrant de myasthénie), anomalie de la numération formule sanguine.
De fréquence indéterminée : inflammation de l'œil, troubles de la vision nécessitant un avis spécialisé en urgence, diarrhée sanglante, troubles de l'odorat, baisse d'audition, hypertension intracrânienne, atteinte des nerfs périphériques (picotements, engourdissement ou perte de sensibilité), troubles du rythme cardiaque, rupture d'un tendon ou d'un ligament, idées suicidaires, photosensibilisation, hépatite, éruption cutanée bulleuse grave (voir Attention), réaction allergique (œdème de Quincke, choc anaphylactique).
Vous avez ressenti un effet indésirable susceptible d’être dû à ce médicament, vous pouvez le déclarer en ligne.
Lexique :
Terme | Définition |
AINS | Abréviation d'anti-inflammatoire non stéroïdien. Famille de médicaments anti-inflammatoires qui ne sont pas dérivés de la cortisone (stéroïdes), et dont le plus connu est l'aspirine. Consultez l'article : Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) |
allergie | Réaction cutanée (démangeaisons, boutons, gonflement) ou malaise général apparaissant après un contact avec une substance particulière, l'utilisation d'un médicament ou l'ingestion d'un aliment. Les principales formes d'allergie sont l'eczéma, l'urticaire, l'asthme, l'œdème de Quincke et le choc allergique (choc anaphylactique). L'allergie alimentaire peut également se traduire par des troubles digestifs. |
antiarythmique | Médicament indiqué dans les troubles du rythme cardiaque. La famille des antiarythmiques est divisée en classes I, II, III, IV en fonction du mode d'action de ces médicaments. |
antibiotique | Substance capable de bloquer la multiplication de certaines bactéries ou de les tuer. Le spectre d'un antibiotique est l'ensemble des bactéries sur lesquelles ce produit est habituellement actif. Contrairement aux bactéries, les virus ne sont pas sensibles aux antibiotiques. Les premiers antibiotiques furent extraits de cultures de champignons : penicillium (pénicilline), streptomyces (streptomycine). Ils sont actuellement fabriqués par synthèse chimique. Les antibiotiques sont divisés en familles : pénicillines, céphalosporines, macrolides, tétracyclines (cyclines), sulfamides, aminosides, lincosanides, phénicolés, polymyxines, quinolones, imidazolés, etc. Un usage inapproprié des antibiotiques peut favoriser l'apparition de résistances : n'utilisez un antibiotique que sur prescription médicale, respectez sa posologie et sa durée, ne donnez pas et ne conseillez pas à une autre personne un antibiotique que l'on vous a prescrit. Consultez l'article : Les familles d’antibiotiques |
anticoagulant | Médicament qui empêche le sang de coaguler et qui prévient donc la formation de caillots dans les vaisseaux sanguins.
Les anticoagulants ne doivent pas être confondus avec les antiagrégants comme l'aspirine, qui luttent contre les caillots par un autre mécanisme et qui n'ont pas les mêmes indications. Consultez l'article : Les traitements anticoagulants |
aorte | Artère principale sortant du cœur. |
ballonnement | Accumulation d'air ou de gaz dans l'intestin. Consultez l'article : Ballonnement, flatulence et aérophagie |
choc | Malaise brutal et grave avec chute de la pression artérielle. Les principales causes de choc sont les allergies (choc allergique ou anaphylactique), les troubles cardiovasculaires graves (choc cardiovasculaire) et les septicémies (choc septique). |
choc anaphylactique | Choc d'origine allergique se manifestant par une baisse brutale de la tension artérielle, due à une dilatation extrême des vaisseaux sanguins. Il survient après un contact avec une substance allergisante (aliment, piqûre d'insecte, injection ou absorption de médicament). |
confusion | Une personne atteinte de confusion souffre de désorientation, d'anxiété et de troubles de la mémoire. La confusion peut être due à un trouble neurologique, à une infection ou à une intoxication (par exemple par un médicament). |
constipation | Ralentissement du transit intestinal se traduisant par la raréfaction des selles. Consultez l'article : Constipation de l’adulte ou Constipation de bébé et de l'enfant |
convulsions | Contractions involontaires limitées à quelques muscles ou généralisées à tout le corps. Elles sont dues à une souffrance ou à une stimulation excessive du cerveau : fièvre, intoxication, manque d'oxygène, lésion du cerveau. Les convulsions peuvent être dues à une crise d'épilepsie ou à une fièvre élevée chez le jeune enfant. |
effet indésirable | La tendance actuelle dans les textes officiels est de rapporter la totalité des symptômes gênants observés, même exceptionnellement, chez les personnes ayant utilisé le médicament. Certains de ces troubles sont réellement imputables au médicament, d'autres peuvent avoir été constatés alors que le médicament ne possède probablement pas de responsabilité réelle dans leur survenue. Dans un souci d'exhaustivité, nous avons choisi de reproduire l'intégralité des troubles énumérés dans les textes officiels, bien que nous ayons conscience du risque de créer une inquiétude parfois injustifiée. L'information précise du public reste néanmoins notre principale priorité. Ayez conscience en lisant la rubrique Effets indésirables possibles que les troubles cités ne sont pas forcément imputables à la molécule utilisée. Consultez l'article : Comprendre les effets indésirables |
excipient | Substance sans activité thérapeutique entrant dans la composition du médicament ou utilisée pour sa fabrication. L'excipient a pour fonction d'améliorer l'aspect ou le goût, d'assurer la conservation, de faciliter la mise en forme et l'administration du médicament. Il sert aussi à acheminer la substance active vers son site d'action et à contrôler son absorption par l'organisme. L'excipient devrait avoir une innocuité parfaite (être bien toléré) ; néanmoins certains peuvent entraîner des réactions allergiques ou des intolérances individuelles : il s'agit des excipients à effet notoire. Consultez l'article : Les excipients à effet notoire |
germe | Terme général qui désigne tous les organismes microscopiques susceptibles de provoquer une infection : bactéries, virus, parasites, champignons. |
infarctus du myocarde | Destruction d'une partie du muscle cardiaque (myocarde), privé de sang par obstruction de ses artères. Consultez l'article : Après un infarctus du myocarde |
inflammation | Réaction naturelle de l'organisme contre un élément reconnu comme étranger. Elle se manifeste localement par une rougeur, une chaleur, une douleur ou un gonflement. |
INR | Abréviation d'International Normalized Ratio. Expression normalisée du taux de prothrombine, l'INR permet de limiter les variations de résultats d'un laboratoire d'analyses à l'autre. Il est utilisé pour contrôler l'efficacité d'un traitement anticoagulant oral par antivitamine K. Il varie de 1 (absence d'effet anticoagulant) à 5 et plus (effet anticoagulant maximal et apparition d'un risque d'hémorragie). Dans la majorité des cas, l'objectif recherché est un INR compris entre 2 et 3. Lorsque l'INR est inférieur à 2, le traitement est insuffisant et justifie une augmentation de la posologie. Lorsque l'INR est supérieur à 3, le traitement est excessif et augmente le risque d'hémorragie ; la posologie doit être diminuée. Dans certaines situations à haut risque d'accident thromboembolique comme le port de prothèses cardiaques, un INR supérieur à 3 peut être nécessaire pour apporter une protection suffisante. Les modifications de posologies doivent être minimes et leur effet ne se fera sentir sur l'INR qu'après plusieurs jours (délai variable suivant les médicaments) ; elles sont généralement décidées par le médecin. En cas d'INR supérieur à 3,5 le médecin doit être joint avant la prise suivante pour dicter la conduite à tenir. En cas d'INR supérieur à 5, le risque hémorragique est important et peut nécessiter une correction urgente par un traitement spécifique : joindre rapidement un médecin ou à défaut un service d'aide médicale urgente. Du fait de fréquentes interactions médicamenteuses, un INR de contrôle devrait être pratiqué 3 à 4 jours après la prescription de tout nouveau médicament pris de façon régulière par une personne en traitement anticoagulant. L'INR n'est pas adapté à la surveillance des traitements anticoagulants injectables. |
insuffisance cardiaque | Incapacité du cœur à remplir sa fonction de pompe. Les principaux symptômes de l'insuffisance cardiaque sont une fatigue et un essoufflement lors d'un effort. Consultez les articles : Troubles du rythme cardiaque |
muqueuse | Tissu (membrane) qui tapisse les cavités et les conduits du corps communiquant avec l'extérieur (tube digestif, appareil respiratoire, voies urinaires, etc.). |
neuroleptique | Famille de médicaments utilisés dans le traitement de certains troubles nerveux ou de symptômes divers : troubles digestifs, troubles de la ménopause, etc. |
palpitations | Perception anormale de battements cardiaques irréguliers. Consultez l'article : Palpitations. |
pansement digestif | Médicament qui protège le tube digestif en tapissant la muqueuse d'un film protecteur et en diminuant l'acidité de l'estomac. Ce type de médicament peut gêner l'absorption d'autres médicaments. |
photosensibilisation | Sensibilité anormale de la peau à la lumière ou aux rayons ultraviolets, due à un médicament ou à une substance naturelle ou chimique. Consultez l'article : Photosensibilisation. |
posologie | Quantité et répartition de la dose d'un médicament en fonction de l'âge, du poids et de l'état général du malade. |
prostate | Organe génital masculin dont la sécrétion contribue à la formation du sperme. Consultez l'article : Hypertrophie bénigne de la prostate (HBP). |
Quincke | Réaction allergique touchant généralement le visage. L'œdème de Quincke se traduit par un gonflement parfois spectaculaire. Les paupières sont souvent les premières touchées. Dans les rares cas où l'œdème touche la gorge, des troubles respiratoires peuvent survenir et un traitement urgent est nécessaire. |
quinolones | Famille d'antibiotiques utilisés dans le traitement des infections urinaires, génitales, gastro-intestinales, respiratoires, etc. Elle contient, entre autres, la péfloxacine, la ciprofloxacine, l'ofloxacine et la sparfloxacine. Également appelés fluoroquinolones, ces antibiotiques sont efficaces sur un grand nombre de germes. Leur usage est contre-indiqué chez les femmes enceintes, chez celles qui allaitent et chez les enfants du fait de leur possible toxicité sur la croissance des cartilages. Consultez l'article : Les quinolones. |
sel | Substance chimique dont la plus connue est le chlorure de sodium, ou sel de table. Le sel de régime ne contient pas de sodium ; celui-ci est remplacé généralement par du potassium. Consultez l'article : Le sel, ami ou ennemi ?. |
sinus | Cavités osseuses de la face communiquant avec les fosses nasales. |
tachycardie | Accélération du rythme des battements du cœur. Elle peut être due à une fièvre, à une hyperthyroïdie, à une maladie cardiaque, à l'action de certains médicaments, etc. Consultez l'article : Tachycardie et bradycardie. |
tendinite | Inflammation des tendons, qui provoque une douleur lors de certains mouvements. Les tendinites les plus courantes affectent les tendons du coude (tennis-elbow) et le tendon d'Achille. Consultez l'article : Tendinite. |
torsades de pointes | Trouble du rythme cardiaque grave, favorisé par :
Les médicaments susceptibles de provoquer des torsades de pointes sont les suivants : quinidine, hydroquinidine, disopyramide, amiodarone, sotalol, ibutilide, certains neuroleptiques, bépridil, cisapride, diphémanil, halofantrine, mizolastine, pentamidine, moxifloxacine, érythromycine (voie IV). |
transaminases | Enzymes dosées dans le sang, dont le taux s'élève lors de certaines hépatites. Elles figurent dans les analyses de sang sous le nom de SGOT et SGPT ou ASAT et ALAT. |
trouble du rythme cardiaque | Anomalie grave ou bénigne de la fréquence des contractions du cœur. L'extrasystole est une contraction survenant juste avant ou après une contraction normale, souvent perçue comme un léger choc dans la poitrine. La fibrillation est une contraction irrégulière et désordonnée. D'autres troubles existent : torsades de pointes, syndrome de Wolf-Parkinson-White, maladie de Bouveret, tachysystolie, flutter et bloc auriculoventriculaire, etc. Consultez l'article : Troubles du rythme cardiaque. |
ultraviolet | Les rayons ultraviolets sont des radiations émises naturellement par le soleil ou artificiellement par certaines lampes. On distingue les UV A et les UV B. Les UV B, de courte longueur d'onde, sont arrêtés dans les couches les plus externes de la peau. Ils sont responsables de brûlures (coups de soleil). Les UV A, de longueur d'onde plus importante, pénètrent profondément et atteignent le derme. Ils induisent la pigmentation (bronzage). L'exposition intense et répétée aux UV cause un vieillissement prématuré de la peau et augmente le risque de cancer cutané. Abréviation : UV. |
urticaire | Éruption de boutons sur la peau, dont l'origine est le plus souvent allergique. Les boutons ressemblent à des piqûres d'orties et leur couleur varie du rose pâle au rouge. |
vertige | Symptôme qui peut désigner une impression de perte d'équilibre (sens commun) ou, plus strictement, une sensation de rotation sur soi-même ou de l'environnement (sens médical). Consultez l'article : Vertiges. |
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