- SUBOXONE
Dans quel cas le médicament SUBOXONE est-il prescrit ?
Ce médicament contient une substance proche de la morphine. Chez le toxicomane à l'héroïne ou aux autres opiacés, il permet de supprimer les symptômes du manque qui surviennent lors de la privation de drogue, et qui sont en grande partie à l'origine de la dépendance. L'ajout de naloxone est destiné à empêcher le mauvais usage du produit par voie intraveineuse.
Il est utilisé chez les toxicomanes comme produit de substitution aux opiacés, tels que l'héroïne ou la morphine. Sa prescription complète une prise en charge médicale, sociale et psychologique, indispensable pour limiter le risque de rechute.
Présentations du médicament SUBOXONE
Les prix mentionnés ne tiennent pas compte des « honoraires de dispensation » du pharmacien.
La dernière mise à jour des informations contenues dans cette fiche médicament ne concerne que les présentations toujours commercialisées.
Composition du médicament SUBOXONE
p cp | p cp | |
Buprénorphine | 2 mg | 8 mg |
Naloxone | 0,5 mg | 2 mg |
Lactose | 42 mg | 168 mg |
La liste des excipients est consultable sur la page produit de chaque médicament de la gamme (pour la consulter, cliquer sur un nom du médicament).
Contre-indications du médicament SUBOXONE
- insuffisance hépatique grave,
- insuffisance respiratoire grave,
- pendant un état d'ivresse aiguë ou un delirium tremens,
- en association avec les antagonistes opiacés (naltrexone, nalméfène) utilisés pour le sevrage à l'alcool ou aux opioïdes.
Attention
Ce médicament est réservé aux adultes et aux adolescents volontaires : le succès d'un programme de désintoxication est étroitement lié à la motivation personnelle du toxicomane.
Un contrôle du bon fonctionnement du foie est parfois prescrit par le médecin avant de débuter le traitement. La surveillance de la fonction hépatique est poursuivie pendant le traitement.
Des précautions sont nécessaires en cas d'insuffisance rénale, d'asthme, d'hypotension orthostatique, d'antécédent d'épilepsie, de traumastisme crânien récent, d'adénome de la prostate, de troubles thyroïdiens ou d'insuffisance surrénalienne.
Un délai minimal de 6 heures doit généralement être respecté entre le début du traitement et la prise d'opiacé. En effet, ce traitement, pris trop tôt, bloque l'action des opiacés sur le cerveau et peut déclencher des symptômes de manque. En revanche, si ces symptômes apparaissent spontanément moins de 6 heures après la prise d'opiacé, le traitement peut être débuté plus tôt.
Évitez la prise de boissons alcoolisées et les médicaments contenant de l'alcool : risque d'augmentation des effets indésirables.
Sportif : ce médicament contient une substance susceptible de rendre positifs certains tests antidopage.
Évitez la conduite automobile et les activités dangereuses en début de traitement : une baisse de la tension artérielle ou une somnolence notable peuvent apparaître. Ce risque est majoré par la prise conjointe d'alcool ou de sédatifs.
Interactions du médicament SUBOXONE avec d'autres substances
Ce médicament ne doit pas être associé médicaments contenant de la naltrexone ou du nalméfène utilisés dans le sevrage alcoolique ou aux opioïdes : risque de diminution de ses effets.
les tranquillisants et les somnifères de la famille des benzodiazépines ;
la méthadone ou aux antalgiques puissants (morphine et ses dérivés) ;
les antitussifs, les antalgiques de la famille des opiacés (codéine, tramadol, éthylmorphine...) et les autres médicaments sédatifs (certains neuroleptiques, certains antihistaminiques...) ;
des antirétroviraux de la famille des inhibiteurs de la protéase (ritonavir, nelfinavir ou indinavir), des antifongiques (kétoconazole, itraconazole) et des antibiotiques de la famille des macrolides ;
les médicaments contenant de la clonidine, du phénobarbital, de la carbamazépine, de la phénytoïne ou de la rifampicine.
Dans tous les cas, informez votre médecin ou votre pharmacien si vous prenez d'autres médicaments.
Fertilité, grossesse et allaitement
Grossesse :
L'effet de ce médicament pendant le grossesse est mal connu. Néanmoins, son utilisation dans le traitement de la dépendance aux opiacés est possible chez la femme enceinte. Une adaptation des doses peut être nécessaire. En cas de prise prolongée en fin de grossesse, une surveillance médicale renforcée du nouveau-né est recommandée afin de parer à un éventuel syndrome de sevrage.
Allaitement :
Ce médicament passe dans le lait maternel. L'allaitement doit être arrêté en cas de traitement par ce médicament.
Mode d'emploi et posologie du médicament SUBOXONE
Ce médicament doit être pris uniquement par voie sublinguale : placé sous la langue, il fond au contact de la salive et est absorbé par la muqueuse buccale ; il doit être conservé sous la langue 5 à 10 minutes, délai habituel pour sa dissolution complète. Ne pas avaler d'aliments ou de boisson pendant ce temps.
La dose quotidienne est prise en une fois ; elle reste active pendant 24 heures.
Posologie usuelle :
- Adulte et adolescent de plus de 15 ans : initialement, la dose est de 1 ou 2 comprimé à 2 mg/0,5 mg par jour ; le médecin adapte ensuite le dosage en fonction du résultat. La posologie maximale est de 24 mg de buprénorphine par jour.
Des précautions sont nécessaires lors de la première prise (voir Attention). Lorsque ce médicament est pris en relais d'un traitement par la méthadone, il convient de diminuer préalablement la dose de méthadone à un maximum de 30 mg par jour.
Lorsque l'état du patient est stabilisé, la dose d'entretien est progressivement diminuée. La fréquence d'administration du traitement peut être réduite à une administration tous les 2 jours en doublant la dose quotidienne. Par exemple, un patient recevant une dose quotidienne de 8 mg de buprénorphine peut recevoir 16 mg de buprénorphine un jour sur deux.
Conseils
Comme tous les dérivés de la morphine, ce médicament est un antalgique puissant, susceptible de masquer la douleur en cas de maladie ou de traumatisme grave : appendicite, fracture... Il convient d'en tenir compte dans de telles circonstances.
L'arrêt du traitement de substitution correspond à une période critique pour le toxicomane et à un risque de rechute important. Le succès du sevrage dépend beaucoup du contexte psychologique et social lors de ce moment difficile.
Ce médicament est prescrit sur une ordonnance « sécurisée » mentionnant le nom de la pharmacie où il pourra être obtenu, pharmacie choisie en accord avec le toxicomane. La durée maximale de chaque prescription est de 28 jours. Le médecin peut préciser que la délivrance du médicament par le pharmacien sera fractionnée : quotidienne en début de traitement, puis hebdomadaire, après la stabilisation, par exemple.
Effets indésirables possibles du médicament SUBOXONE
Très fréquents : insomnie, constipation, nausées, transpiration excessive, maux de tête.
Fréquents : perte de poids, anxiété, nervosité, dépression, pensées anormales, somnolence, migraine, fourmillements, étourdissement, larmoiements, vision trouble, bouffées de chaleur, augmentation de la tension artérielle, mal de gorge, toux, douleur abdominale, diarrhée, vomissement, ballonnements, éruption cutanée, démangeaisons, urticaire, douleur articulaire ou musculaire, crampes, mal de dos, baisse de la libido, impuissance, fièvre, malaise.
Peu fréquents : agitation, rêves anormaux, tremblements, troubles du langage, convulsions, sentiment d'hostilité, troubles de la mémoire, conjonctivite, baisse de la tension, palpitations, angine de poitrine, asthme, essoufflement, bâillement, décoloration de la langue, aphte, acné, perte des cheveux, peau sèche, éjaculation anormale, troubles des règles, difficulté à uriner, infection urinaire ou vaginale, anomalie de la numération formule sanguine.
Plus rarement : dépression respiratoire, hypotension orthostatique, hallucinations, hépatite, réaction allergique.
Lors de la première prise, des symptômes de manque peuvent survenir (voir Attention).
Vous avez ressenti un effet indésirable susceptible d’être dû à ce médicament, vous pouvez le déclarer en ligne.
Lexique :
Terme | Définition |
alcool | Nom général désignant une famille de substances qui ont la propriété de pouvoir être mélangées à l'eau et aux corps gras. L'alcool le plus courant est l'alcool éthylique (éthanol), mais il existe de nombreux autres alcools : méthanol, butanol, etc. Le degré d'une solution alcoolique correspond au volume d'alcool pur présent dans 100 ml de solution, en sachant que 1 verre ballon de vin ou 1 demi de bière (25 cl) contiennent environ 8 g d'alcool. Lorsque l'alcool est utilisé comme antiseptique, un dénaturant d'odeur désagréable lui est souvent ajouté pour éviter qu'il soit bu. Contrairement à une croyance répandue, l'alcool à 70° (ou même à 60°) est un meilleur antiseptique que l'alcool à 90°. Consultez l'article : Alcoolodépendance |
angine | Infection douloureuse du pharynx (gorge) et des amygdales provoquant de la fièvre. La majorité des angines est due à des virus. Dans 20 % des cas chez les enfants (10 % des cas chez les adultes), l'angine est due à une bactérie, un streptocoque du groupe A. Les angines à streptocoques du groupe A justifient un traitement antibiotique pour prévenir de possibles complications : infection généralisée (septicémie), rhumatisme articulaire aigu, problèmes cardiaques, etc. Consultez l'article : Angine et mal de gorge de l’adulte ou Angine et mal de gorge de l’enfant |
angine de poitrine | Douleur oppressante due à une obstruction partielle des artères coronaires qui irriguent le muscle cardiaque. Elle peut se manifester dans la poitrine, les bras ou la mâchoire. Synonyme : angor. |
antagoniste | Se dit d'une substance qui bloque un récepteur et empêche sa stimulation par d'autres substances. Beaucoup de substances médicamenteuses ou naturelles ont un effet sur l'organisme par l'intermédiaire d'un récepteur, qui reconnaît la substance et déclenche une action biologique à son contact. Ainsi, l'adrénaline stimule les récepteurs bêta du cœur et provoque son accélération, l'opium stimule les récepteurs du plaisir dans le cerveau. Des substances antagonistes comme les bêtabloquants ou la naltrexone empêchent respectivement l'action de l'adrénaline et celle des opiacés : elles se fixent sur le récepteur et le bloquent, de la même façon qu'une allumette insérée dans une serrure ne permet plus à la clé de l'ouvrir. |
antalgique | Médicament qui agit contre la douleur. Les antalgiques agissent soit directement sur les centres de la douleur situés dans le cerveau, soit en bloquant la transmission de la douleur au cerveau. Synonyme : analgésique. |
antibiotique | Substance capable de bloquer la multiplication de certaines bactéries ou de les tuer. Le spectre d'un antibiotique est l'ensemble des bactéries sur lesquelles ce produit est habituellement actif. Contrairement aux bactéries, les virus ne sont pas sensibles aux antibiotiques. Les premiers antibiotiques furent extraits de cultures de champignons : penicillium (pénicilline), streptomyces (streptomycine). Ils sont actuellement fabriqués par synthèse chimique. Les antibiotiques sont divisés en familles : pénicillines, céphalosporines, macrolides, tétracyclines (cyclines), sulfamides, aminosides, lincosanides, phénicolés, polymyxines, quinolones, imidazolés, etc. Un usage inapproprié des antibiotiques peut favoriser l'apparition de résistances : n'utilisez un antibiotique que sur prescription médicale, respectez sa posologie et sa durée, ne donnez pas et ne conseillez pas à une autre personne un antibiotique que l'on vous a prescrit. Consultez l'article : Les familles d’antibiotiques |
antifongique | Médicament qui détruit les champignons et levures microscopiques. Ceux-ci peuvent être présents sur la peau ou les muqueuses (tube digestif ou organes génitaux). La levure la plus courante est le Candida albicans. |
antihistaminique | Médicament qui s'oppose aux différents effets de l'histamine. Deux types principaux existent : les antihistaminiques de type H1 (antiallergiques) et les antihistaminiques de type H2 (antiulcéreux gastriques). Certains antihistaminiques de type H1 sont sédatifs, d'autres n'altèrent pas la vigilance. |
antitussif | Médicament qui lutte contre la toux. Les antitussifs les plus puissants contiennent de la codéine ou de la codéthyline. |
aphte | Lésion très douloureuse de la bouche, ayant l'aspect d'une tache jaunâtre ou grise, légèrement creusée. La guérison est généralement spontanée après quelques jours. Le stress, la fatigue et certains aliments (noix, noisettes, gruyère, agrumes...) peuvent provoquer une poussée d'aphtes. Dans de très rares cas, les aphtes peuvent être dus à une maladie ou à un traitement médicamenteux. Consultez l'article : Aphtes |
asthme | Maladie caractérisée par une difficulté à respirer, se traduisant souvent par des sifflements. L'asthme, permanent ou survenant par crise, est dû à un rétrécissement et à une inflammation des bronches. Consultez l'article : Asthme |
ballonnement | Accumulation d'air ou de gaz dans l'intestin. Consultez l'article : Ballonnement, flatulence et aérophagie |
conjonctivite | Inflammation de la conjonctive, due à un corps étranger, à une allergie, à une infection ou à un produit irritant. Consultez l'article : Yeux rouges (conjonctivite) |
constipation | Ralentissement du transit intestinal se traduisant par la raréfaction des selles. Consultez l'article : Constipation de l’adulte ou Constipation de bébé et de l'enfant |
convulsions | Contractions involontaires limitées à quelques muscles ou généralisées à tout le corps. Elles sont dues à une souffrance ou à une stimulation excessive du cerveau : fièvre, intoxication, manque d'oxygène, lésion du cerveau. Les convulsions peuvent être dues à une crise d'épilepsie ou à une fièvre élevée chez le jeune enfant. |
delirium tremens | État grave associant un délire, des hallucinations, des tremblements généralisés, une angoisse extrême. Il survient chez l'alcoolique chronique lors d'une privation d'alcool ou, au contraire, d'une ivresse aiguë, d'une infection, d'un traumatisme. Il est dû à des lésions toxiques du cerveau. |
excipient | Substance sans activité thérapeutique entrant dans la composition du médicament ou utilisée pour sa fabrication. L'excipient a pour fonction d'améliorer l'aspect ou le goût, d'assurer la conservation, de faciliter la mise en forme et l'administration du médicament. Il sert aussi à acheminer la substance active vers son site d'action et à contrôler son absorption par l'organisme. L'excipient devrait avoir une innocuité parfaite (être bien toléré) ; néanmoins certains peuvent entraîner des réactions allergiques ou des intolérances individuelles : il s'agit des excipients à effet notoire. Consultez l'article : Les excipients à effet notoire |
hypotension | Diminution de la pression artérielle (tension) qui peut provoquer fatigue, refroidissement des pieds et des mains, vertiges et malaises. L'hypotension peut être due à des médicaments, une hémorragie, une douleur très forte, mais aussi à un passage brutal de la position couchée à la position debout (hypotension orthostatique). |
hypotension orthostatique | Baisse de la tension artérielle survenant lors du passage de la position allongée à la position debout. Due le plus souvent à des médicaments, l'hypotension orthostatique se traduit par des étourdissements avec risque de chute, notamment chez les personnes âgées. On peut prévenir ces troubles en évitant les changements de position brutaux : rester assis quelques instants au bord du lit avant de se mettre debout, se lever lentement d'un siège en gardant un appui avant de se déplacer. Le port de bas de contention, qui empêche le sang de refluer vers les jambes en position debout, est également utilisé pour traiter l'hypotension orthostatique. |
impuissance | Érection impossible ou insuffisante pour la pénétration. Consultez l'article : Troubles de l’érection |
insuffisance respiratoire | Incapacité des poumons à oxygéner correctement le sang et à éliminer le gaz carbonique en excès. |
intraveineuse | Injection d'un médicament dans une veine, généralement au pli du coude, après désinfection de la peau. Lorsqu'il s'agit d'une injection intraveineuse directe à l'aide d'une seringue, l'effet du médicament est immédiat, mais bref. À l'inverse, la perfusion permet une administration continue et contrôlée de la substance active, diluée dans un flacon de sérum. Abréviation : IV. |
macrolide | Famille d'antibiotiques, largement utilisés, actifs sur de nombreux germes. Les macrolides peuvent donner lieu à des interactions médicamenteuses avec les dérivés de l'ergot de seigle. Consultez l'article : Les macrolides. |
migraine | Mal de tête particulier touchant généralement la moitié droite ou gauche de la tête, souvent associé à une crainte de la lumière et du bruit. Consultez l'article : Maux de tête et migraine. |
morphine | Substance extraite du pavot (opium). La morphine a des propriétés sédatives et antalgiques puissantes. Son usage expose à un risque de dépendance. Consultez l'article : Les médicaments des douleurs intenses. |
muqueuse | Tissu (membrane) qui tapisse les cavités et les conduits du corps communiquant avec l'extérieur (tube digestif, appareil respiratoire, voies urinaires, etc.). |
neuroleptique | Famille de médicaments utilisés dans le traitement de certains troubles nerveux ou de symptômes divers : troubles digestifs, troubles de la ménopause, etc. |
palpitations | Perception anormale de battements cardiaques irréguliers. Consultez l'article : Palpitations. |
posologie | Quantité et répartition de la dose d'un médicament en fonction de l'âge, du poids et de l'état général du malade. |
prostate | Organe génital masculin dont la sécrétion contribue à la formation du sperme. Consultez l'article : Hypertrophie bénigne de la prostate (HBP). |
sublingual | Voie d'administration d'une substance médicamenteuse qui permet une absorption rapide par les veines situées sous la langue. Le médicament doit être maintenu sous la langue suffisamment longtemps pour passer dans le sang (quelques minutes en général). |
syndrome | Ensemble de symptômes fréquemment associés ; un syndrome grippal, par exemple, associe une fièvre élevée, des courbatures et un mal de tête. Un même syndrome peut être présent dans des maladies de causes différentes. |
syndrome de sevrage | Réaction due à la privation brutale d'une substance (médicament, toxique, alcool, etc.) à laquelle l'organisme a été habitué. Certains médicaments pris pendant la grossesse peuvent provoquer cette réaction chez le nouveau-né. Une forme particulière de syndrome de sevrage est le manque ressenti par les toxicomanes lorsqu'ils sont privés de drogue. |
test antidopage | Les sportifs peuvent être soumis à des tests destinés à détecter la présence dans leurs urines de substances dopantes ou de leurs dérivés. Le Comité international olympique et le ministère de la Santé et des Sports tiennent à jour une liste des substances considérées comme dopantes. Ces substances sont très variées : hormones anabolisantes qui développent les muscles, excitants qui augmentent la vigilance, bêtabloquants qui ralentissent le cœur et, par exemple, permettent aux tireurs à l'arc de décocher leur flèche entre deux battements cardiaques, etc. Certains médicaments tels que les crèmes, les gouttes auriculaires, contiennent des substances considérées comme dopantes, mais la probabilité pour que ces substances passent dans le sang et soient retrouvées dans les urines est très faible. Dans le doute, l'éventualité d'une réaction positive est mentionnée pour chaque médicament lorsqu'une substance dopante est présente dans sa composition. Il appartient au sportif de décider avec son médecin s'il peut utiliser ou non un tel médicament. |
tranquillisant | Médicament luttant contre l'anxiété et le stress. La majorité des tranquillisants appartiennent à la famille des benzodiazépines. Synonyme : anxiolytique. |
urticaire | Éruption de boutons sur la peau, dont l'origine est le plus souvent allergique. Les boutons ressemblent à des piqûres d'orties et leur couleur varie du rose pâle au rouge. |
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