Il est important tout d’abord d’inciter la personne à consulter et à parler de ses difficultés. Le conjoint peut apporter une aide précieuse au diagnostic lors de la première consultation, car il est le seul à pouvoir repérer certains signes : jambes sans repos, ronflements, apnées. Il peut également mettre en corrélation l’apparition de l’insomnie avec d’autres changements qu’il a pu noter chez son conjoint (tristesse, nervosité, désintérêt) et ainsi orienter le médecin vers une suspicion de dépression.
Une personne qui dort mal est souvent anxieuse, ses insomnies ne faisant qu’amplifier ses angoisses. De plus, si ses troubles perturbent le sommeil de son conjoint, elle peut en ressentir de la culpabilité. Le partenaire doit essayer de désangoisser la personne insomniaque. Le couple peut aussi choisir de faire chambre à part pendant un temps, jusqu’à ce que les troubles du sommeil aient disparu.
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