Sommaire
SYNTHÈSE |
Cip : 3400955067283
Modalités de conservation : Avant ouverture : 2° < t < 8° durant 36 mois (Conserver à l'abri de la lumière, Conserver au réfrigérateur, Conserver dans son emballage, Ne pas congeler)
FORMES et PRÉSENTATIONS |
Solution à diluer pour perfusion (limpide à légèrement opalescente, incolore à jaune pâle, peut contenir des traces de particules translucides à blanches ; stérile, avec un pH de 6,0 et une osmolalité comprise entre 300 et 360 mmol/kg).
Flacon de 350 mg dans une solution de 7 ml, à usage unique. Boîte de 1.
COMPOSITION |
Un ml de solution à diluer contient 50 mg de cémiplimab.
Chaque flacon contient 350 mg de cémiplimab dans 7 ml.
Le cémiplimab est produit par la technologie de l'ADN recombinant dans des cellules ovariennes de hamster chinois (cellules CHO [Chinese hamster ovary]) en culture en suspension.
L-histidine, chlorhydrate de L-histidine monohydraté, saccharose, L-proline, polysorbate 80, eau pour préparations injectables.
INDICATIONS |
Carcinome épidermoïde cutané
LIBTAYO est indiqué en monothérapie pour le traitement de patients adultes atteints d'un carcinome épidermoïde cutané métastatique ou localement avancé (CECm ou CECla) qui ne sont pas candidats à une chirurgie curative ni à une radiothérapie curative.
Carcinome basocellulaire
LIBTAYO est indiqué en monothérapie pour le traitement de patients adultes atteints d'un carcinome basocellulaire localement avancé ou métastatique (CBCla ou CBCm) ayant progressé ou présentant une intolérance à un inhibiteur de la voie Hedgehog (IHH).
Cancer bronchopulmonaire non à petites cellules
LIBTAYO est indiqué en monothérapie pour le traitement de première ligne de patients adultes atteints d'un cancer bronchopulmonaire non à petites cellules (CBNPC) exprimant PD-L1 (dans ≥ 50 % des cellules tumorales) sans altérations du gène EGFR, ALK ou ROS1, et qui ont :
LIBTAYO est indiqué en association avec une chimiothérapie à base de sels de platine pour le traitement de première ligne de patients adultes atteints d'un cancer bronchopulmonaire non à petites cellules (CBNPC) exprimant PD-L1 (dans ≥ 1 % des cellules tumorales) sans altérations du gène EGFR, ALK ou ROS1, et qui ont :
Cancer du col de l'utérus
LIBTAYO est indiqué en monothérapie pour le traitement de patientes adultes atteintes d'un cancer du col de l'utérus récidivant ou métastatique et présentant une progression de la maladie pendant ou après une chimiothérapie à base de sels de platine.
POSOLOGIE ET MODE D'ADMINISTRATION |
Connectez-vous pour accéder à ce contenu
CONTRE-INDICATIONS |
Connectez-vous pour accéder à ce contenu
MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D'EMPLOI |
Traçabilité
Afin d'améliorer la traçabilité des médicaments biologiques, le nom et le numéro de lot du produit administré doivent être clairement enregistrés.
Effets indésirables à médiation immunitaire
Des effets indésirables à médiation immunitaire graves et d'issue fatale ont été observés avec le cémiplimab (voir rubrique Posologie et mode d'administration et Effets indésirables). Ces réactions à médiation immunitaire peuvent impliquer n'importe quel système d'organes. Des réactions à médiation immunitaire peuvent se manifester à tout moment pendant le traitement par cémiplimab. Cependant, des effets indésirables à médiation immunitaire peuvent aussi apparaître après l'arrêt du cémiplimab.
Les recommandations concernant les effets indésirables à médiation immunitaire s'appliquent au cémiplimab, qu'il soit administré en monothérapie ou en association avec une chimiothérapie.
Chez les patients traités par cémiplimab ou par d'autres inhibiteurs du PD-1/PD-L1, des effets indésirables à médiation immunitaire affectant plus d'un système d'organes peuvent survenir simultanément, tels que la myosite et la myocardite ou la myasthénie grave.
Surveiller les patients pour détecter tout signe et symptôme d'effets indésirables à médiation immunitaire. Les effets indésirables à médiation immunitaire doivent être pris en charge en adaptant le traitement par cémiplimab, en instaurant un traitement hormonal substitutif (si cela est cliniquement indiqué) et en administrant une corticothérapie. En cas de suspicion d'effets indésirables à médiation immunitaire, une évaluation appropriée doit être conduite afin de confirmer un effet indésirable à médiation immunitaire et exclure d'autres causes, dont l'infection. En fonction de la sévérité de l'effet indésirable, le traitement par cémiplimab doit être suspendu ou définitivement arrêté (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Pneumopathie inflammatoire à médiation immunitaire
Des pneumopathies inflammatoires à médiation immunitaire, définies comme nécessitant l'utilisation de corticoïdes en l'absence d'une étiologie alternative identifiée, parfois d'issue fatale, ont été observées chez des patients recevant du cémiplimab (voir rubrique Effets indésirables). Les patients doivent être surveillés pour détecter tout signe et symptôme de pneumopathie inflammatoire et les autres causes que la pneumopathie inflammatoire à médiation immunitaire doivent être exclues. Les patients ayant une suspicion de pneumopathie inflammatoire doivent être évalués par une imagerie radiographique, en fonction de l'évaluation clinique. Le traitement par cémiplimab doit être adapté et une corticothérapie doit être administrée (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Colite à médiation immunitaire
Une diarrhée ou une colite à médiation immunitaire, définie comme nécessitant l'utilisation de corticoïdes en l'absence d'une étiologie alternative identifiée, a été observée chez des patients recevant du cémiplimab (voir rubrique Effets indésirables). Les patients doivent être surveillés pour détecter tout signe et symptôme de diarrhée ou de colite. Le traitement par cémiplimab doit être adapté, des anti-diarrhéiques ainsi qu'une corticothérapie doivent être administrés (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Hépatite à médiation immunitaire
Une hépatite à médiation immunitaire, définie comme nécessitant l'utilisation de corticoïdes en l'absence d'une étiologie alternative identifiée, parfois fatale, a été observée chez des patients recevant du cémiplimab (voir rubrique Effets indésirables). Les patients doivent être surveillés pour détecter toute modification de la fonction hépatique, avant le traitement puis régulièrement par la suite en fonction de l'évaluation clinique. Le traitement par cémiplimab doit être adapté et une corticothérapie doit être administrée (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Troubles endocriniens à médiation immunitaire
Des troubles endocriniens à médiation immunitaire, définis comme des endocrinopathies apparues sous traitement, en l'absence d'une étiologie alternative identifiée, ont été observés chez des patients recevant du cémiplimab (voir rubrique Effets indésirables).
Troubles thyroïdiens (hypothyroïdie/hyperthyroïdie/thyroïdite)
Des troubles thyroïdiens à médiation immunitaire ont été observés chez des patients recevant du cémiplimab. Une thyroïdite peut être présente avec ou sans altération des tests de la fonction thyroïdienne. Une hypothyroïdie peut faire suite à une hyperthyroïdie. Les troubles thyroïdiens peuvent survenir à tout moment au cours du traitement. Les altérations de la fonction thyroïdienne doivent être surveillées chez les patients, au début du traitement puis régulièrement par la suite, en fonction de l'évaluation clinique (voir rubrique Effets indésirables). Les patients doivent recevoir un traitement hormonal substitutif (si cela est indiqué) et le traitement par cémiplimab doit être adapté. L'hyperthyroïdie doit être prise en charge selon les pratiques médicales standardisées (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Hypophysite
Une hypophysite à médiation immunitaire a été observée chez des patients recevant du cémiplimab (voir rubrique Effets indésirables). Les patients doivent être surveillés pour déceler tout signe et symptôme d'hypophysite. Le traitement par cémiplimab doit être adapté, une corticothérapie et un traitement hormonal substitutif doivent être administrés si cliniquement indiqué (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Insuffisance surrénalienne
Une insuffisance surrénalienne a été observée chez des patients recevant du cémiplimab (voir rubrique Effets indésirables). Les patients doivent être surveillés pour détecter tout signe et symptôme d'insuffisance surrénalienne pendant et après le traitement. Le traitement par cémiplimab doit être adapté, une corticothérapie et un traitement hormonal substitutif doivent être administrés si cliniquement indiqué (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Diabète de type 1
Un diabète de type 1 à médiation immunitaire, pouvant inclure des cas d'acidocétose diabétique, a été observé chez des patients recevant du cémiplimab (voir rubrique Effets indésirables). Les patients doivent être surveillés pour détecter les hyperglycémies et tout signe et symptôme de diabète. Un traitement par hypoglycémiants oraux ou insuline doit être instauré et le traitement par cémiplimab doit être adapté (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Effets indésirables cutanés à médiation immunitaire
Des effets indésirables cutanés à médiation immunitaire, définis comme nécessitant l'utilisation de corticoïdes systémiques en l'absence d'une étiologie alternative identifiée, incluant des effets indésirables cutanés graves (EICG), comme le syndrome de Stevens-Johnson (SSJ) et la nécrolyse épidermique toxique (NET) (dans certains cas avec une issue fatale), et d'autres réactions cutanées comme des éruptions cutanées, un érythème polymorphe, une pemphigoïde, ont été rapportés en association avec un traitement par cémiplimab (voir rubrique Effets indésirables).
Les patients doivent être surveillés pour détecter toute manifestation de réactions cutanées sévères et exclure d'autres causes. Le traitement par cémiplimab doit être adapté et une corticothérapie doit être administrée (voir rubrique Posologie et mode d'administration). En cas de signes et symptômes de SSJ et NET, diriger le patient vers une unité spécialisée pour évaluation et prise en charge, et adapter la posologie de cémiplimab (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Des cas de SSJ, de NET fatale et de stomatite sont survenus après l'administration d'une dose unique de cémiplimab chez des patients précédemment exposés à l'idélalisib, qui participaient à un essai clinique évaluant le cémiplimab dans le lymphome non hodgkinien (LNH) et qui avaient récemment été exposés à des antibiotiques sulfamidés (voir rubrique Effets indésirables). Le traitement par cémiplimab doit être adapté et une corticothérapie doit être administrée, tel que décrit ci-dessus (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Néphrite à médiation immunitaire
Une néphrite à médiation immunitaire, définie comme nécessitant l'utilisation de corticoïdes en l'absence d'étiologie alternative identifiée, y compris un cas d'issue fatale, a été observée chez des patients recevant du cémiplimab (voir rubrique Effets indésirables). Surveiller les patients pour détecter toute modification de la fonction rénale. Le traitement par cémiplimab doit être adapté et une corticothérapie doit être administrée (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Autres effets indésirables à médiation immunitaire
D'autres effets indésirables à médiation immunitaire, d'issue fatale ou mettant en jeu le pronostic vital, ont été observés chez des patients recevant du cémiplimab, notamment des cas d'encéphalomyélite paranéoplasique, de méningite, de myosite, et de myocardite (voir rubrique Effets indésirables pour les autres effets indésirables à médiation immunitaire).
Une cystite non infectieuse a été rapportée avec d'autres inhibiteurs du PD-1/PD-L1.
Évaluer les effets indésirables à médiation immunitaire suspectés afin d'exclure les autres causes. Les patients doivent être surveillés afin de détecter tout signe et symptôme d'effets indésirables à médiation immunitaire. Le traitement par cémiplimab doit être adapté et une corticothérapie doit être administrée si cliniquement indiqué (voir rubriques Posologie et mode d'administration et Effets indésirables).
Un rejet de greffe d'organe solide a été signalé après la mise sur le marché chez des patients traités par inhibiteurs du PD-1. Le traitement par cémiplimab est susceptible d'augmenter le risque de rejet chez les bénéficiaires d'une greffe d'organe solide. Il convient de prendre en considération le rapport entre les bénéfices du traitement par cémiplimab et le risque de rejet d'organe chez ces patients. Des cas de maladie du greffon contre l'hôte (GVHD), ont été signalés après la mise sur le marché chez des patients traités par inhibiteurs du PD-1/PD-L1 en association avec une greffe allogénique de cellules souches hématopoïétiques.
Une lymphohistiocytose hémophagocytaire (LHH) a été rapportée chez des patients recevant du cémiplimab (voir rubrique Effets indésirables). Les patients doivent être surveillés afin de détecter tout signe clinique et symptôme de LHH. Si la LHH est confirmée, l'administration du cémiplimab doit être interrompue et le traitement pour la LHH instauré (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Réactions liées à la perfusion
Le cémiplimab peut entraîner des réactions liées à la perfusion sévères ou menaçant le pronostic vital (voir rubrique Effets indésirables). Les patients doivent être surveillés pour détecter tout signe et symptôme de réaction liée à la perfusion. Le traitement par cémiplimab doit être adapté et une corticothérapie doit être administrée. Le traitement par cémiplimab doit être interrompu ou le débit de la perfusion ralenti en cas de réactions liées à la perfusion d'intensité légère à modérée. La perfusion doit être arrêtée et le traitement par cémiplimab définitivement arrêté en cas de réactions liées à la perfusion sévères (de grade 3) ou menaçant le pronostic vital (de grade 4) (voir rubrique Posologie et mode d'administration).
Patients exclus des études cliniques
Les patients présentant des infections actives, immunodéprimés, ayant des antécédents de maladies auto-immunes, présentant un indice fonctionnel ECOG ≥ 2 ou ayant des antécédents de pneumopathie interstitielle diffuse n'ont pas été inclus. Pour la liste complète des patients exclus des études cliniques, voir rubrique Pharmacodynamie.
En l'absence de données, le cémiplimab doit être utilisé avec précaution chez ces populations après évaluation approfondie du rapport bénéfice/risque pour le patient.
INTERACTIONS |
Connectez-vous pour accéder à ce contenu
FERTILITÉ/GROSSESSE/ALLAITEMENT |
Femmes en âge de procréer
Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception efficace pendant le traitement par cémiplimab et au moins 4 mois après la dernière dose de cémiplimab.
Grossesse
Aucune étude sur la reproduction animale n'a été menée avec le cémiplimab. Il n'existe pas de données sur l'utilisation du cémiplimab chez la femme enceinte. Les études effectuées chez l'animal ont démontré que l'inhibition de la voie PD-1/PD-L1 peut augmenter le risque de rejet immunologique du fœtus en développement et ainsi la mort du fœtus (voir rubrique Sécurité préclinique).
L'IgG4 humaine est connue pour traverser la barrière placentaire. Le cémiplimab étant une IgG4, il existe un risque potentiel de transmission de la mère au fœtus en développement. L'utilisation du cémiplimab n'est pas recommandée pendant la grossesse et chez les femmes en âge de procréer n'utilisant pas une méthode de contraception efficace, sauf si le bénéfice clinique est évalué comme étant supérieur au risque potentiel.
Allaitement
On ne sait pas si le cémiplimab est excrété dans le lait maternel. Dans la mesure où il est connu que les anticorps (notamment l'IgG4) sont excrétés dans le lait maternel, un risque pour les nouveau-nés/nourrissons allaités ne peut être exclu.
Si une femme décide d'être traitée par le cémiplimab, elle devra être informée de ne pas allaiter pendant le traitement par cémiplimab et au moins 4 mois après la dernière dose de cémiplimab.
Fertilité
Il n'existe pas de donnée clinique sur les effets possibles de l'utilisation du cémiplimab sur la fertilité. Aucun effet n'a été observé sur les paramètres d'évaluation de la fertilité ou sur les organes de reproduction mâles ou femelles au cours d'une étude d'évaluation de la fertilité avec administration répétée de 3 mois menée chez des singes cynomolgus sexuellement matures.
CONDUITE et UTILISATION DE MACHINES |
Le cémiplimab n'a aucun effet ou un effet négligeable sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. Des cas de fatigue ont été rapportés suite au traitement par cémiplimab (voir rubrique Effets indésirables).
EFFETS INDÉSIRABLES |
Connectez-vous pour accéder à ce contenu
SURDOSAGE |
En cas de surdosage, les patients doivent être rigoureusement surveillés pour détecter tout signe ou symptôme d'effet indésirable, et un traitement symptomatique adapté doit être instauré.
PHARMACODYNAMIE |
Connectez-vous pour accéder à ce contenu
PHARMACOCINÉTIQUE |
Connectez-vous pour accéder à ce contenu
SÉCURITÉ PRÉCLINIQUE |
Aucune étude évaluant le potentiel carcinogène ou génotoxique du cémiplimab n'a été réalisée. Aucune étude sur la reproduction animale n'a été menée avec le cémiplimab (voir rubrique Fertilité/Grossesse/Allaitement). Comme indiqué dans la littérature, la voie de signalisation PD-1/PD-L1 joue un rôle dans le maintien de la grossesse en maintenant la tolérance immunologique et des études ont montré que le blocage des récepteurs PD-1 aboutissait à une interruption précoce de la grossesse. L'augmentation de l'avortement et/ou de la résorption fœtale spontanés chez les animaux à expression restreinte de PD-L1 (anticorps monoclonaux knock-out ou anti-PD-1/PD-L1) a été démontrée chez la souris et le singe. Ces espèces animales ont une interface mère-fœtus similaire à celle des humains.
INCOMPATIBILITÉS |
En l'absence d'études de compatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments à l'exception de ceux mentionnés dans la rubrique Elimination/Manipulation.
DURÉE DE CONSERVATION |
Flacon non ouvert
4 ans.
Après ouverture
Une fois ouvert, le médicament devra être dilué et perfusé immédiatement (voir la rubrique Elimination/Manipulation pour les instructions de dilution du médicament avant administration).
Après préparation de la perfusion
D'un point de vue microbiologique, la solution pour perfusion préparée doit être utilisée immédiatement. Si la solution diluée n'est pas administrée immédiatement, les durées et conditions de conservation après dilution et avant utilisation relèvent de la responsabilité de l'utilisateur.
La stabilité chimique et physique en cours d'utilisation a été démontrée comme suit :
Ne pas congeler.
PRÉCAUTIONS PARTICULIÈRES DE CONSERVATION |
Flacon non ouvert
À conserver au réfrigérateur (entre 2 °C et 8 °C).
Ne pas congeler.
À conserver dans l'emballage d'origine à l'abri de la lumière.
Pour les conditions de conservation du médicament après première ouverture ou dilution, voir la rubrique Durée de conservation.
PRÉCAUTIONS PARTICULIÈRES D'ÉLIMINATION ET DE MANIPULATION |
Préparation et administration
LIBTAYO est réservé à un usage unique. Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.
PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGE |
AMM |
|
Agréé Collect et inscrit sur la liste des spécialités prises en charge en sus des GHS dans l’indication :
En association à une chimiothérapie à base de sels de platine, traitement de première ligne de patients adultes atteints d'un cancer bronchopulmonaire non à petites cellules (CBNPC) exprimant PD-L1 (dans ≥ 1 % des cellules tumorales) sans altérations du gène EGFR, ALK ou ROS1, et qui ont :
Titulaire de l'AMM : Regeneron Ireland Designated Activity Company (DAC), One Warrington Place, Dublin 2, D02 HH27, Irlande.