Classification pharmacothérapeutique VIDAL
Cancérologie - Hématologie > Antinéoplasiques > Hormonothérapie > Hormones et apparentés > Analogues de la somatostatine (Octréotide)
Cirrhose > Hémorragie digestive (Octréotide)
Endocrinologie > Hormone de croissance > Inhibiteurs de la sécrétion de l'hormone de croissance (Octréotide)
Gastro - Entéro - Hépatologie > Fistules digestives > Somatostatine et analogues (Octréotide)
Classification ATC
HORMONES SYSTEMIQUES, HORMONES SEXUELLES EXCLUES > HORMONES HYPOPHYSAIRES, HYPOTHALAMIQUES ET ANALOGUES > HORMONES HYPOTHALAMIQUES > SOMATOSTATINE ET ANALOGUES (OCTREOTIDE)
Excipients
acide lactique, sodium chlorure, sodium hydroxyde, eau ppi
Présentation
SIROCTID 0,05 mg/ml Sol inj ou sol dil/perf seringue préremplie 6Ser
Cip : 3400939535456
Modalités de conservation : Avant ouverture : 2° < t < 8° durant 36 mois (Conserver à l'abri de la lumière, Conserver au réfrigérateur, Conserver dans son emballage, Ne pas congeler)
| par seringue |
Octréotide acétate exprimé en octréotide
| 50 µg |
ou | 100 µg |
ou | 500 µg |
Excipients (communs) :
acide (S)-lactique, chlorure de sodium, hydroxyde de sodium pour ajustement du pH, eau pour préparations injectables.
Ce médicament contient moins de 1 mmole (23 mg) de sodium pour 1 ml de solution (c'est-à-dire qu'il est essentiellement « sans sodium »).
- Contrôle symptomatique et abaissement des taux plasmatiques de GH (hormone de croissance) et des taux d'IGF-1 chez des patients atteints d'acromégalie qui ne sont pas suffisamment contrôlés par la chirurgie ou la radiothérapie.
- Siroctid est également indiqué chez les patients acromégales dont l'état de santé ne permet pas une intervention chirurgicale ou qui la refusent, et pendant la période transitoire précédant la complète efficacité de la radiothérapie.
- Soulagement des symptômes associés aux tumeurs endocrines gastro-entéro-pancréatiques (GEP) fonctionnelles, par exemple les tumeurs carcinoïdes avec caractéristiques de syndrome carcinoïde (cf Pharmacodynamie).
Siroctid n'est pas un médicament anticancéreux et n'est pas un traitement curatif pour ces patients.
- Prévention des complications après chirurgie pancréatique.
- Traitement en urgence, et prévention de la récidive de l'hémorragie des varices gastro-œsophagiennes chez les patients cirrhotiques.
Siroctid doit être utilisé en association à un traitement spécifique tel que la sclérothérapie endoscopique.
- Traitement des adénomes thyréotropes :
- lorsque la sécrétion n'est pas normalisée après chirurgie et/ou radiothérapie ;
- chez les patients ne relevant pas d'un traitement chirurgical ;
- chez les patients irradiés, en attente de l'efficacité de la radiothérapie.
POSOLOGIE ET MODE D'ADMINISTRATION |
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MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D'EMPLOI |
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Générales :
- Les adénomes hypophysaires somatotropes peuvent parfois augmenter de volume, entraînant des complications sévères (par exemple une altération du champ visuel). Il est donc important de surveiller attentivement tous les patients. En cas d'augmentation de volume de l'adénome, des alternatives thérapeutiques devraient être envisagées.
- Les bénéfices thérapeutiques d'une réduction du taux d'hormone de croissance (GH) et de la normalisation des taux d'IGF-1 chez les patientes atteintes d'acromégalie peuvent potentiellement restaurer la fertilité. Pour les patientes en âge de procréer il est recommandé d'utiliser une contraception adéquate pendant le traitement par l'octréotide si nécessaire (cf Fertilité/Grossesse/Allaitement).
- Un suivi de la fonction thyroïdienne doit être réalisé chez les patients traités au long cours par l'octréotide.
- Un suivi de la fonction hépatique doit être réalisé au cours du traitement par l'octréotide.
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Effets cardiovasculaires :
- Des cas fréquents de bradycardie ont été rapportés. Une adaptation posologique de médicaments tels que les bêta-bloquants, les inhibiteurs calciques, ou des agents pour le contrôle de l'équilibre hydro-électrolytique, peut être nécessaire (cf Interactions).
- Des blocs auriculo-ventriculaires (y compris le bloc auriculo-ventriculaire complet) ont été rapportés chez des patients recevant des doses élevées en perfusion continue (100 microgrammes/heure) et chez des patients recevant l'octréotide en bolus intraveineux (50 microgrammes en bolus suivi par 50 microgrammes/heure en perfusion continue). La dose maximale de 50 microgrammes/heure ne doit pas être dépassée (cf Posologie et Mode d'administration). Les patients qui reçoivent des doses élevées d'octréotide intraveineux doivent être maintenus sous surveillance cardiaque appropriée.
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Effets sur la vésicule biliaire :
- La cholélithiase est un événement très fréquent au cours du traitement par Siroctid et peut être associée à une cholécystite et à une dilatation des canaux biliaires (cf Effets indésirables). Un examen par ultrasons de la vésicule biliaire avant et à intervalles de 6 à 12 mois pendant le traitement par Siroctid est donc recommandé.
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Tumeurs endocrines GEP :
- Pendant le traitement des tumeurs endocrines GEP, il peut y avoir de rares cas d'échappement soudain au contrôle symptomatique par Siroctid entraînant une récidive rapide des symptômes sévères. Si le traitement est arrêté, les symptômes peuvent s'aggraver ou réapparaître.
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Métabolisme du glucose :
- En raison de son action inhibitrice sur l'hormone de croissance, sur le glucagon et sur l'insuline, Siroctid peut altérer la glycorégulation. La tolérance au glucose post-prandial peut être affectée et, dans certains cas, l'état d'hyperglycémie persistante peut être induit à la suite de l'administration chronique. Des cas d'hypoglycémie ont également été rapportés.
- Chez les patients ayant un insulinome, l'octréotide peut augmenter l'intensité et la durée de l'hypoglycémie. Ceci s'explique par le fait que l'octréotide inhibe de manière relativement plus importante la sécrétion de GH et du glucagon que celle de l'insuline, et que la durée de son action inhibitrice est plus courte sur l'insuline. Ces patients doivent être étroitement surveillés en début du traitement par Siroctid et lors de chaque changement de posologie.
- Les variations prononcées de la glycémie peuvent être réduites par l'administration plus fréquente de plus petites doses.
- L'administration de Siroctid peut réduire les besoins en insuline chez le diabétique de type I.
- Chez les patients non diabétiques et les patients présentant un diabète de type II avec des réserves d'insuline partiellement intacte, l'administration de Siroctid peut entraîner une augmentation post-prandiale de la glycémie. Il est donc recommandé de suivre régulièrement la glycémie et le traitement antidiabétique.
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Varices gastro-œsophagiennes :
- Puisqu'après des épisodes hémorragiques de varices œsophagiennes il existe un risque plus élevé d'apparition de diabète insulino-dépendant ou des modifications des besoins en insuline chez les patients qui présentent un diabète préexistant, une surveillance adaptée de l'équilibre glycémique est indispensable.
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Réactions au site d'injection :
- Dans une étude de toxicité de 52 semaines chez les rats, surtout chez les mâles, des sarcomes ont été observés au niveau du site d'injection s.c. et seulement à la dose la plus élevée (environ 8 fois la dose maximale chez l'homme basée sur la surface corporelle). Aucune lésion hyperplasique ou néoplasique n'a eu lieu au niveau du site d'injection sous-cutanée dans une étude de toxicité de 52 semaines chez le chien. Aucune formation de tumeur au niveau du site d'injection n'a été rapportée chez les patients traités par Siroctid pendant 15 ans. Toutes les informations disponibles à l'heure actuelle indiquent que les résultats chez les rats sont spécifiques à l'espèce et n'ont aucune signification pour l'utilisation du médicament chez l'homme (cf Sécurité préclinique).
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Fonction pancréatique :
- Une insuffisance pancréatique exocrine (IPE) a été observée chez certains patients recevant un traitement par l'octréotide pour des tumeurs neuroendocrines gastroentéropancréatiques. Les symptômes de l'IPE peuvent inclure une stéatorrhée, des selles molles, des ballonnements abdominaux et une perte de poids. Un dépistage et un traitement approprié de l'IPE conformément aux directives cliniques doivent être envisagés chez les patients symptomatiques.
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Nutrition :
- Chez certains patients, l'octréotide peut diminuer l'absorption des lipides alimentaires.
- Chez certains patients traités avec l'octréotide, une diminution du taux de vitamine B12 et un test de Schilling anormal ont été observés. Il est recommandé de contrôler le taux de vitamine B12 pendant le traitement par l'octréotide chez les patients ayant des antécédents de carence en vitamine B12.
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Teneur en sodium :
- Siroctid contient moins de 1 mmole (23 mg) de sodium par dose, c'est-à-dire qu'il est essentiellement « sans sodium ».
FERTILITÉ/GROSSESSE/ALLAITEMENT |
Grossesse :
Les données sur l'exposition de la femme enceinte à l'octréotide sont limitées (moins de 300 grossesses), et dans environ un tiers de ces cas les données sur l'issue des grossesses ne sont pas connues. La majorité des rapports a été reçue après la commercialisation de l'octréotide et plus de 50 % des expositions pendant la grossesse ont été rapportés chez des patientes acromégales. La plupart des femmes a été exposée à l'octréotide au cours du premier trimestre de la grossesse à des doses allant de 100 à 1200 microgrammes/jour de Siroctid sous-cutané ou 10 à 40 mg/mois de la forme à libération lente d'octréotide.
Des anomalies congénitales ont été rapportées dans environ 4 % des cas de grossesse dont l'issue est connue. Aucun lien de causalité n'a été établi avec la prise d'octréotide pour ces cas.
Les études effectuées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effets délétères directs ou indirects sur la reproduction (cf Sécurité préclinique).
Par mesure de précaution, il est préférable d'éviter l'utilisation de Siroctid au cours de la grossesse (cf Mises en garde et Précautions d'emploi).
Allaitement :
On ne sait pas si l'octréotide est excrété dans le lait maternel. Des études chez l'animal ont mis en évidence une excrétion de l'octréotide dans le lait maternel. Les patientes ne doivent pas allaiter pendant le traitement par Siroctid.
Fertilité :
On ne sait pas si l'octréotide a un effet sur la fertilité humaine. Une descente tardive des testicules a été observée chez les descendants mâles des femelles traitées durant la grossesse et l'allaitement. Cependant, l'octréotide n'a pas altéré la fertilité des rats mâles et femelles traités à des doses allant jusqu'à 1 mg/kg de poids corporel par jour (cf Sécurité préclinique).
CONDUITE et UTILISATION DE MACHINES |
Siroctid n'a aucun effet ou qu'un effet négligeable sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. Les patients devront être incités à la prudence s'ils conduisent des véhicules ou utilisent des machines s'ils ressentent des sensations vertigineuses, de l'asthénie/de la fatigue ou des céphalées au cours d'un traitement par Siroctid.
Un nombre limité de surdosages accidentels par Siroctid chez les adultes et les enfants a été rapporté.
Chez les adultes, les doses allaient de 2400 à 6000 microgrammes/jour, administrées en perfusion continue (100-250 microgrammes/heure) ou sous-cutanée (1500 microgrammes trois fois par jour). Les événements indésirables rapportés ont été : arythmie, hypotension, arrêt cardiaque, hypoxie cérébrale, pancréatite, stéatose, hépatite, diarrhée, faiblesse, léthargie, perte de poids, hépatomégalie et acidose lactique.
Des blocs auriculo-ventriculaires (y compris le bloc auriculo-ventriculaire complet) ont été rapportés chez des patients recevant 100 microgrammes/heure en perfusion continue et/ou en bolus intraveineux d'octréotide (50 microgrammes de bolus suivi par 50 microgrammes/heure en perfusion continue).
Chez les enfants, les doses allaient de 50 à 3000 microgrammes/jour, administrées en perfusion continue (2,1 à 500 microgrammes/heure) ou sous-cutanée (50-100 microgrammes). Le seul effet indésirable rapporté a été une légère hyperglycémie.
Aucun effet indésirable inattendu n'a été rapporté chez les patients cancéreux recevant Siroctid à des doses de 3000 à 30 000 microgrammes/jour en doses fractionnées par voie sous-cutanée.
Le traitement du surdosage est symptomatique.
Les études de toxicité aiguë et répétée, de génotoxicité, de cancérogenèse et de toxicité sur la reproduction chez l'animal n'ont pas révélé de risque particulier pour l'homme.
Les études sur la reproduction menées chez l'animal n'ont mis en évidence aucun effet tératogène, embryo/fœtotoxique ou délétère sur la reproduction après administration de l'octréotide aux parents à des doses allant jusqu'à 1 mg/kg/jour. Un ralentissement de la croissance physiologique a été noté dans la descendance du rat, mais ce ralentissement était transitoire et imputable à l'inhibition de la GH due à une activité pharmacodynamique excessive (cf Fertilité/Grossesse/Allaitement).
Aucune étude spécifique n'a été menée chez le rat jeune. Lors des études de développement pré- et post-natal, un retard de croissance et de maturation a été observé chez les sujets de la génération F1 après administration d'octréotide à la mère pendant toute la durée de la grossesse et la période de lactation. Une descente tardive des testicules a été observée pour les descendants mâles de la génération F1, mais aucun effet délétère n'a été observé sur la fertilité des mâles de la génération F1 touchés. Ainsi, les effets mentionnés ci-dessus ont été temporaires et considérés comme consécutifs à l'inhibition de la GH.
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Cancérogénicité/toxicité chronique :
- Chez les rats recevant de l'acétate d'octréotide à des doses journalières allant jusqu'à 1,25 mg/kg de poids corporel, des fibrosarcomes ont été observés au site d'injection sous-cutané après 52, 104 et 113/116 semaines, principalement chez les mâles. Des tumeurs locales sont également apparues chez les rats témoins mais le développement de ces tumeurs a été attribué à une fibroplasie anormale produite par des effets irritants soutenus aux sites d'injection, majorée par le véhicule acide lactique/mannitol. Cette réaction tissulaire non spécifique semble être particulière aux rats. Aucune lésion néoplasique n'a été observée chez les souris recevant des injections s.c. quotidiennes d'octréotide à des doses allant jusqu'à 2 mg/kg pendant 98 semaines ou chez les chiens traités quotidiennement par des doses s.c. de ce médicament pendant 52 semaines.
Ce médicament ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments à l'exception de ceux mentionnés dans la rubrique Modalités de manipulation et d'élimination.
MODALITÉS DE CONSERVATION |
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Durée de conservation :
- 3 ans.
A conserver au réfrigérateur (entre 2 °C et 8 °C). Ne pas congeler.
Dans le cadre d'une utilisation journalière, le produit peut être conservé à une température ne dépassant pas 30 °C pendant 30 jours maximum.
Ne pas congeler. Conserver les seringues préremplies dans le blister afin de protéger le produit de la lumière.
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Après dilution :
- Après dilution dans une solution de chlorure de sodium à 0,9 % dans les flacons en verre, la stabilité physico-chimique de la solution diluée a été démontrée pendant 24 heures à 25 °C. D'un point de vue microbiologique, le produit doit être utilisé immédiatement.
MODALITÉS MANIPULATION/ÉLIMINATION |
Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.
Avant administration, la solution doit être inspectée visuellement pour détecter les changements de couleur ou les particules solides.
Il est recommandé de ne pas mélanger ou diluer Siroctid, solution injectable à l'exception d'une solution de chlorure de sodium à 0,9 %.
Pour usage unique exclusivement.
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Administration par voie sous-cutanée :
- Il est préférable d'administrer Siroctid par voie sous-cutanée, sans reconstitution ou dilution.
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Administration par voie intraveineuse :
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Tumeurs GEP :
- Nécessitant une réponse rapide (administration i.v. en bolus), Siroctid doit être dilué avec une solution de chlorure de sodium à 0,9 % (m/v) dans un rapport ne dépassant pas 1:100.
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Hémorragie de varices gastro-œsophagiennes :
- Lorsque le produit doit être administré par perfusion i.v. le contenu d'une seringue de 500 microgrammes doit être dilué dans 60 ml de solution de chlorure de sodium et la solution doit être administrée au moyen d'une pompe à perfusion. Cette procédure doit être répétée autant de fois que nécessaire jusqu'à la fin de la durée du traitement prescrit. L'octréotide peut être perfusé à des concentrations plus faibles.
PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGE |
LISTE I
Prescription initiale hospitalière annuelle. |
AMM | 3400939535456 (2009, RCP rév 13.12.2021) 0,05 mg/ml. |
| 3400939538587 (2009, RCP rév 13.12.2021) 0,1 mg/ml. |
| 3400939542379 (2009, RCP rév 13.12.2021) 0,5 mg/ml. |
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Prix : | 28,28 euros (6 ser 0,05 mg/ml). |
| 51,99 euros (6 ser 0,1 mg/ml). |
| 244,43 euros (6 ser 0,5 mg/ml). |
Remb Séc soc à 100 %. Collect. |