Sommaire
SYNTHÈSE |
EEN sans dose seuil : caoutchouc
Cip : 3400955008729
Modalités de conservation : Avant ouverture : < 25° durant 4 ans
FORMES et PRÉSENTATIONS |
Poudre pour solution à diluer pour perfusion (poudre pour concentré, de couleur blanche à blanc cassé).
Flacon individuel de 50 mL à usage unique. Boîte de 3.
COMPOSITION |
Chaque flacon contient du diphosphate d'oritavancine équivalant à 400 mg d'oritavancine.
Après reconstitution, 1 mL de la solution contient 10 mg d'oritavancine.
Après dilution, 1 mL de la solution pour perfusion contient 1,2 mg d'oritavancine.
Mannitol, acide phosphorique (pour ajustement du pH).
INDICATIONS |
Tenkasi est indiqué dans le traitement d'infections bactériennes aiguës de la peau et des tissus mous (IBAPTM) chez les adultes et les enfants âgés de 3 mois et plus (voir rubriques Posologie et mode d'administration, Mises en garde et précautions d'emploi et Pharmacodynamie).
Il convient de tenir compte des recommandations officielles concernant l'utilisation appropriée des antibactériens.
POSOLOGIE ET MODE D'ADMINISTRATION |
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CONTRE-INDICATIONS |
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MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D'EMPLOI |
Réactions d'hypersensibilité
Des cas de réactions d'hypersensibilité sévères, notamment des réactions anaphylactiques et de choc anaphylactique, ont été rapportés avec l'utilisation de l'oritavancine. En cas de réactions d'hypersensibilité aiguë durant une perfusion d'oritavancine, il faut interrompre immédiatement l'oritavancine et prendre des mesures appropriées.
Aucune donnée n'est disponible concernant la réaction croisée entre l'oritavancine et les autres glycopeptides, notamment la vancomycine. Avant d'utiliser l'oritavancine, il est important d'établir si le patient présente des antécédents de réactions d'hypersensibilité aux glycopeptides (p. ex. vancomycine, télavancine). En raison du risque d'hypersensibilité croisée, il convient de surveiller étroitement les patients ayant des antécédents d'hypersensibilité aux glycopeptides pendant et après la perfusion.
Réactions liées à la perfusion
L'oritavancine est administrée par perfusion intraveineuse pendant une durée de 3 heures afin de minimiser le risque de survenue de réactions liées à la perfusion. Les perfusions intraveineuses d'oritavancine peuvent provoquer des réactions telles qu'un érythème de la partie supérieure du corps, un prurit, une urticaire et/ou une éruption cutanée. Des réactions associées à la perfusion caractérisées par une douleur thoracique, une gêne thoracique, des frissons, des tremblements, une dorsalgie, une cervicalgie, une dyspnée, une hypoxie, une douleur abdominale, et de la fièvre ont été observés avec l'utilisation de l'oritavancine, y compris après administration de plus d'une dose d'oritavancine au cours d'un seul cycle de traitement. Si des réactions surviennent, l'arrêt ou le ralentissement de la perfusion peut permettre la disparition de ces symptômes (voir rubrique Effets indésirables).
Nécessité d'administrer d'autres agents antibactériens
L'oritavancine est active uniquement contre des bactéries à Gram positif (voir rubrique Pharmacodynamie). Dans le cas d'infections mixtes où l'on suspecte la présence de bactéries à Gram négatif et/ou certains types de bactéries anaérobies, il convient d'administrer l'oritavancine en même temps qu'un ou plusieurs agent(s) antibactérien(s) approprié(s).
Utilisation concomitante de la warfarine
Il a été montré que l'oritavancine prolonge artificiellement le temps de Quick (TQ) et le rapport normalisé international (INR) pendant 12 heures au plus, ce qui signifie que la surveillance de l'effet anticoagulant de la warfarine n'est pas fiable pendant 12 heures au plus suivant l'administration d'une dose d'oritavancine.
Interférence avec les tests sur la coagulation
Il a été montré que l'oritavancine interfère avec certains tests de la coagulation (voir rubriques Contre-indications et Interactions). Il a été observé que l'oritavancine aux concentrations présentes dans le sang des patients après administration d'une dose unique prolonge artificiellement :
Ces effets sont dus à la liaison de l'oritavancine aux réactifs à base de phospholipides qui activent la coagulation dans les tests de laboratoire de la coagulation couramment utilisés et à l'inhibition de leur action. Chez les patients dont le TCA doit être surveillé durant les 120 heures suivant l'administration de l'oritavancine, il convient d'envisager d'effectuer un test sur la coagulation ne dépendant pas des phospholipides, par exemple un dosage du Facteur Xa (chromogène) ou d'un autre anticoagulant n'impliquant pas la surveillance du TCA.
L'oritavancine n'a pas d'effet sur le dosage du facteur Xa par méthode chromogénique, le test du temps de thrombine (TT) et les dosages utilisés pour le diagnostic de la thrombopénie induite par l'héparine (TIH). In vitro, l'oritavancine 46,6 μg/mL n'a pas eu d'effet sur un test de résistance à la protéine C activée (RPCa), ce qui semble indiquer qu'il existe une faible probabilité que l'oritavancine interfère avec ce test. Cependant le test RPCa est basé sur les phospholipides et il ne peut être exclu que des concentrations plus élevées d'oritavancine qui peuvent être atteintes en clinique puissent interférer avec ce test.
Aucun effet de l'oritavancine sur le système de coagulation n'a été observé in vivo dans les études non cliniques et cliniques.
Diarrhée associée à Clostridioides difficile
Des cas de colites associées aux antibactériens et de colites pseudo-membraneuses ont été rapportés avec l'oritavancine ; leur sévérité peut varier d'une diarrhée légère jusqu'à la mise en jeu du pronostic vital. Par conséquent, il est important d'envisager ce diagnostic chez les patients présentant une diarrhée après avoir reçu l'oritavancine (voir rubrique Effets indésirables). Dans de telles circonstances, l'utilisation de traitements symptomatiques et l'administration d'un traitement spécifique vis-à-vis de Clostridioides difficile doivent être envisagées.
Surinfection
L'utilisation d'antibiotiques peut augmenter le risque de prolifération de micro-organismes non sensibles. Si une surinfection se produit, il convient de prendre les mesures appropriées.
Ostéomyélite
Dans des essais cliniques de Phase 3 menés dans les IBAPTM, le nombre de cas d'ostéomyélite rapportés était plus élevé dans le bras traité par oritavancine que dans celui traité par vancomycine (voir rubrique Effets indésirables). Les patients doivent être surveillés pour détecter tout signe ou symptôme évocateur d'ostéomyélite après l'administration d'oritavancine. Si une ostéomyélite est suspectée ou diagnostiquée, il convient d'instaurer une autre antibiothérapie appropriée.
Abcès
Dans des essais cliniques de Phase 3, un nombre légèrement plus élevé de cas d'abcès d'apparition nouvelle ont été rapportés dans le bras traité par l'oritavancine, comparé à celui traité par la vancomycine (4,6 % versus 3,4 %, respectivement) (voir rubrique Effets indésirables). Si de tels abcès surviennent, il convient de prendre les mesures appropriées.
Limitations des données cliniques
Dans les deux principaux essais menés dans les IBAPTM, les types d'infections traités se limitaient aux cellulites, à des abcès et des infections de plaies. Aucun autre type d'infections n'a été étudié. Dans les études cliniques, l'expérience est limitée chez des patients présentant des bactériémies, des maladies vasculaires périphériques ou des neutropénies, chez des patients immunodéprimés, chez des patients de plus de 65 ans, chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère et chez des patients présentant des infections dues à Streptococcus pyogenes.
INTERACTIONS |
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FERTILITÉ/GROSSESSE/ALLAITEMENT |
Grossesse
Il n'existe pas de données ou il existe des données limitées (moins de 300 grossesses) sur l'utilisation de l'oritavancine chez la femme enceinte. Les études effectuées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effets délétères directs ou indirects sur la reproduction (voir rubrique Sécurité préclinique). Par mesure de précaution, il est préférable d'éviter l'utilisation de Tenkasi pendant la grossesse à moins que la situation clinique de la femme ne justifie le traitement avec oritavancine.
Allaitement
Les données pharmacodynamiques/toxicologiques disponibles chez l'animal ont mis en évidence l'excrétion d'oritavancine dans le lait (pour précision voir rubrique Sécurité préclinique). Il n'a pas été établi si l'oritavancine/ses métabolites est/sont excrété(e)(s) dans le lait humain. Un risque pour les nouveau-nés/nourrissons ne peut être exclu.
Une décision doit être prise, soit d'interrompre l'allaitement, soit d'interrompre/de s'abstenir d'un traitement par Tenkasi en prenant en compte le bénéfice de l'allaitement pour l'enfant au regard du bénéfice du traitement pour la femme.
Fertilité
Les études effectuées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effets délétères sur la fertilité causés par l'administration des plus fortes concentrations d'oritavancine. Toutefois, aucune donnée concernant l'effet de l'oritavancine sur la fertilité humaine n'est disponible.
CONDUITE et UTILISATION DE MACHINES |
Tenkasi a une influence mineure sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. Des sensations vertigineuses susceptibles d'affecter la conduite de véhicules et l'utilisation de machines peuvent survenir (voir rubrique Effets indésirables).
EFFETS INDÉSIRABLES |
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SURDOSAGE |
Dans le programme clinique ayant porté sur 3 017 patients traités par oritavancine, aucun cas de surdosage accidentel à l'oritavancine n'a été rapporté.
L'oritavancine n'est pas éliminée par hémodialyse. En cas de surdosage, des mesures symptomatiques doivent être prises.
PHARMACODYNAMIE |
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PHARMACOCINÉTIQUE |
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SÉCURITÉ PRÉCLINIQUE |
Le principal effet toxicologique observé avec l'administration de l'oritavancine à des rats et des chiens était une accumulation dose-dépendante de granules éosinophiles dans les macrophages tissulaires, dont les hépatocytes, les cellules épithéliales corticales rénales, les cellules des surrénales et les macrophages du système réticulo-endothélial. L'apparition de granules éosinophiles ne s'est pas produite après l'administration d'une dose unique et, in vitro, n'a pas significativement affecté la fonction innée des macrophages à une dose unique intracellulaire de 1 200 mg.
Des augmentations modérées, dose-dépendantes et réversibles à l'arrêt du traitement, du taux d'enzymes hépatiques (alanine transaminase et aspartate transaminase) ont été observées chez le rat et le chien. Les changements biochimiques associés à la fonction rénale, notamment une diminution de la densité urinaire et du pH, de légères augmentations de l'azote uréique sérique et des augmentations sporadiques de la créatinine, étaient présentes chez le rat ainsi que chez le chien après un traitement de deux semaines. Une hématopoïèse extra-médullaire a été observée dans la rate du rat.
Cette observation histopathologique était associée à une augmentation du volume ainsi qu'à une augmentation du poids de la rate. L'exposition chez le rat à la dose sans effet toxique observée (NOAEL) se situait autour de l'exposition observée chez l'homme (inférieure ou légèrement supérieure), selon l'ASC.
Des réactions de type histaminique liées à la perfusion se sont produites immédiatement ou juste après l'administration de l'oritavancine chez le rat et chez le chien. Ces réactions étaient associées à une mortalité à des posologies plus faibles chez les rats que chez les rates dans les études avec une administration unique. Cependant, cette différence liée au sexe n'a pas été observée dans d'autres espèces. Des études de 30 jours chez des rats et chiens nouveau-nés ont montré les mêmes effets sur les tissus que ceux observés chez les animaux adultes, dont une sensibilité aux réactions de type histaminique liées à la perfusion. La mortalité a été observée chez les rats nouveau-nés à des doses plus faibles que celles chez l'adulte.
L'oritavancine ne s'est pas révélée être génotoxique lors des études standard de génotoxicité in vitro et in vivo. Le potentiel cancérigène de l'oritavancine n'a pas été évalué.
Lors d'administration par voie intraveineuse de doses allant jusqu'à 30 mg/kg, l'oritavancine n'a pas affecté la fertilité ou les performances de reproduction des rats et rates. Les études chez des rates et des lapines gravides n'ont identifié aucun effet délétère direct ou indirect sur la gestation, le développement de l'embryon/du fœtus, la mise bas ou le développement post-natal. Il n'y a eu aucune preuve de transfert transplacentaire de l'oritavancine chez la rate gravide. L'exposition chez le rat à la NOAEL se situait autour de l'exposition observée chez l'homme, selon l'ASC.
Après une seule perfusion intraveineuse chez des rates allaitantes, l'oritavancine radiomarquée[14C] a été excrétée dans le lait et absorbée par les petits allaités.
INCOMPATIBILITÉS |
Une solution de chlorure de sodium ne doit pas être utilisée pour la dilution car elle est incompatible avec l'oritavancine au dosage de 400 mg et pourrait provoquer la précipitation du produit. Par conséquent, les autres substances, additifs ou médicaments intraveineux mélangés à une solution de chlorure de sodium ne doivent pas être ajoutés dans les flacons d'oritavancine à usage unique ou ne doivent pas être perfusés simultanément dans la même tubulure intraveineuse ou par un même site d'injection. De plus, les produits médicamenteux formulés à un pH basique ou neutre pourraient être incompatibles avec l'oritavancine (voir rubrique Elimination/Manipulation).
DURÉE DE CONSERVATION |
4 ans
Après reconstitution
La solution reconstituée doit être ensuite immédiatement diluée dans une poche de solution à 50 mg/mL (5 %) de glucose pour perfusion intraveineuse.
Après dilution
La solution diluée doit être utilisée immédiatement.
Du point de vue microbiologique, le produit doit être utilisé immédiatement.
Si ce n'est pas le cas, les durées et les conditions de conservation avant utilisation relèvent de la responsabilité de l'utilisateur et elles ne doivent pas dépasser 12 heures à une température ne dépassant pas 25 °C et 24 heures à une température comprise entre 2 °C-8 °C après la dilution dans la poche de solution à 5 % de glucose pour perfusion intraveineuse.
PRÉCAUTIONS PARTICULIÈRES DE CONSERVATION |
À conserver à une température ne dépassant pas 25 °C.
Pour les conditions de conservation après la reconstitution et la dilution du médicament, voir rubrique Durée de conservation.
PRÉCAUTIONS PARTICULIÈRES D'ÉLIMINATION ET DE MANIPULATION |
A usage unique. Tenkasi doit être préparé en utilisant des procédures aseptiques.
Il existe deux spécialités à base d'oritavancine (Tenkasi 400 mg et Tenkasi 1 200 mg) qui :
Respectez attentivement les instructions recommandées pour chaque spécialité.
Trois flacons de Tenkasi 400 mg doivent être reconstitués et dilués pour préparer une seule dose IV de 1 200 mg.
La poudre doit être reconstituée avec de l'eau stérile pour préparations injectables, puis le concentré obtenu doit être dilué dans une poche de solution à 5 % de glucose pour perfusion intraveineuse avant utilisation. La solution reconstituée et la solution diluée pour perfusion doivent être limpides et incolores à jaune pâle. Les médicaments à usage parentéral doivent être inspectés visuellement après la reconstitution afin de détecter la présence éventuelle de particules.
Adultes
Reconstitution :
Dilution : trois flacons reconstitués sont requis pour la dilution en vue de l'administration d'une seule perfusion de 1 200 mg. C'est uniquement une poche de solution à 5 % de glucose (G5) pour perfusion intraveineuse qui doit être utilisée pour la dilution. Ne pas utiliser une solution de chlorure de sodium pour la dilution (voir rubrique Incompatibilités).
Dilution :
Utilisation dans la population pédiatrique (âgée de 3 mois à < 18 ans)
Calculer la dose d'oritavancine nécessaire en fonction du poids du patient (une perfusion unique de 15 mg/kg administrée par voie intraveineuse sur 3 heures).
Déterminez le nombre de flacons d'oritavancine nécessaire pour le patient (chaque flacon contient du diphosphate d'oritavancine équivalent à 400 mg d'oritavancine).
Reconstitution :
Dilution : Seule une poche de solution à 5 % de glucose (G5) pour perfusion intraveineuse doit être utilisée pour la dilution. Ne pas utiliser une solution de chlorure de sodium pour la dilution (voir rubrique Incompatibilités).
Dilution :
Prélever le volume nécessaire d'oritavancine avec une seringue stérile et l'ajouter à la poche de solution de G5 pour perfusion intraveineuse (se référer au Tableau 6 pour des exemples appropriés). La taille de la poche pour perfusion intraveineuse sera déterminée en fonction du volume total à administrer. Pour les petits volumes, un pousse-seringue peut être utilisé.
Poids du patient (kg) |
Dose d'Oritavancine calculée (mg) |
Volume total de perfusion (mL) |
Volume d'Oritavancine reconstituée (mL) |
Volume de G5 à ajouter à la poche pour perfusion IV (mL) |
5 |
75 |
62,5 |
7,5 |
55 |
10 |
150 |
125 |
15 |
110 |
15 |
225 |
187,5 |
22,5 |
165 |
20 |
300 |
250 |
30 |
220 |
25 |
375 |
312,5 |
37,5 |
275 |
30 |
450 |
375 |
45 |
330 |
35 |
525 |
437,5 |
52,5 |
385 |
40 |
600 |
500 |
60 |
440 |
Calculs :
1) Utiliser le poids réel du patient - ARRONDIR UNIQUEMENT AU NOMBRE ENTIER LE PLUS PROCHE.
2) Dose : Poids (kg) x 15 mg/kg = ______ mg (Dose maximale 1 200 mg)
3) Volume total de la perfusion : Dose (mg) ÷ 1,2 mg/mL = _______ mL
4) Volume d'Oritavancine reconstituée : Dose (mg) ÷ 10 = ______ mL
5) Volume de G5 à ajouter à la poche pour perfusion IV : Volume total de perfusion (C) - Volume d'Oritavancine reconstituée (D) = _______ mL
Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.
Se référer à Tenkasi 1 200 mg pour des informations pertinentes sur l'autre spécialité à base d'oritavancine.
PRESCRIPTION/DÉLIVRANCE/PRISE EN CHARGE |
AMM |
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Titulaire de l'AMM : Menarini International Operations Luxembourg S.A., 1, Avenue de la Gare, L-1611, Luxembourg, Luxembourg.