Prévention secondaire et tertiaire
La prévention secondaire vise à agir au tout début de la maladie afin d’en limiter l’évolution ou d’en faire disparaître les facteurs de risque. La prévention tertiaire consiste, lorsque la maladie est installée, à réduire l’aggravation, les complications, invalidités ou rechutes. Pour chacune des pathologies ciblées, la pratique de la discipline sportive concernée permet de répondre à plusieurs objectifs thérapeutiques décrits ci-dessous.
Gériatrie
Effets de l'avancée en âge
L’objectif est de combiner le développement d’une qualité sport santé (amplitude articulaire, relâchement, effort prolongé, la sollicitation musculaire étant toujours présente) avec le développement de compétences permettant d’évoluer avec plaisir et en sécurité sur un support vertical (familiarisation avec le milieu, découverte de réponses à des problèmes posés par le support, maîtrise des techniques de sécurité, plaisir et convivialité…).
Pratique | Rythme : 1 séance par semaine Durée : 1h30 Adaptation : En structure artificielle, il est possible d’aménager les passages en adaptant les difficultés (plus difficile en site naturel). Adaptations et progression en fonction de l’évolution des capacités individuelles physiques et techniques. Démarrage par une pratique de type bloc, afin de familiariser les pratiquants avec le milieu et d’acquérir un minimum d’aisance. |
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Objectifs thérapeutiques | Toutes pathologies
Pathologies métaboliques
Pathologies rhumatologiques
Pathologies neurologiques
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Métabolique
Surpoids de l'adulte
L’objectif est de combiner le développement d’une qualité sport santé (amplitude articulaire, relâchement, effort prolongé, la sollicitation musculaire étant toujours présente) avec le développement de compétences permettant d’évoluer avec plaisir et en sécurité sur un support vertical (familiarisation avec le milieu, découverte de réponses à des problèmes posés par le support, maîtrise des techniques de sécurité, plaisir et convivialité…).
Pratique | Rythme : 1 séance par semaine Durée : 1h30 Adaptation : En structure artificielle, il est possible d’aménager les passages en adaptant les difficultés (plus difficile en site naturel). Adaptations et progression en fonction de l’évolution des capacités individuelles physiques et techniques. Démarrage par une pratique de type bloc, afin de familiariser les pratiquants avec le milieu et d’acquérir un minimum d’aisance. |
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Objectifs thérapeutiques | Pathologies métaboliques
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Surpoids de l'enfant
La plupart des clubs accueillent les jeunes dès 9-10 ans et leur proposent une pratique éducative visant progrès et accession à l’autonomie ; cette dernière peut déboucher sur une pratique loisir, performance ou compétition.
Objectifs thérapeutiques | Pathologies métaboliques
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Oncologie et hématologie
La pratique d'une activité physique et sportive (APS) porte sur des patients stabilisés dont les effets iatrogènes des soins ne sont plus évolutifs et susceptibles de survenir en mettant le pratiquant en danger.Elle s’applique donc à des patients qui ont achevés leur chirurgie, irradiation et chimiothérapie depuis au moins 3 à 6 mois. Durant les soins et le post traitement précoce, la prise en charge ne peut se faire qu’en collaboration étroite avec les médecins en charge des soins anticancéreux dans des centres dédiés.La poursuite d’une hormonothérapie n’est pas un frein à la pratique de l’APS car tous effets iatrogènes sont influencés favorablement par l’APS.
Cancer du sein avec chimiothérapie
Niveau de sévérité : 1Public pouvant bénéficier d’une pratique d’APS de type ‘loisir’, ‘Sport Santé pour tous’, sans précaution particulière ou précautions limitées, 2Public pouvant bénéficier de programmes d’APS de type ‘Sport Santé pour public spécifique’ nécessitant certaines précautions particulières, 3Public fragile pour lequel une activité physique en milieu spécialisé extra-fédéral sera envisagée Info +
Le démarrage de l’activité peut être plus ou moins rapide selon l’avis de l’équipe soignante (en post-opératoire immédiat, en cours de radiothérapie ou chimiothérapie et plus tardivement lors de la rééducation d’une raideur de l’épaule ou encore après reconstruction mammaire) et selon le niveau de pratique antérieure de l’escalade par la patiente. Il prend également en compte l’impact de la pathologie en termes d’asthénie et état dépressif.
Pratique | Rythme : 1 séance par semaine (cycle de 7 semaines) Adaptation : Il est possible d’aménager les voies en réduisant les difficultés, que ce soit en site artificiel ou naturel. Adaptations et progression en fonction de l’évolution des capacités individuelles physiques et techniques. Démarrage par une pratique de type bloc, afin de familiariser les pratiquants avec le milieu et d’acquérir un minimum d’aisance. |
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Objectifs thérapeutiques | Toutes pathologies
Pathologies oncologiques et hématologiques
Prévention des pathologies de la personne avancée en âge
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Cancer du sein sans chimiothérapie
Le démarrage de l’activité peut être plus ou moins rapide selon l’avis de l’équipe soignante (en post-opératoire immédiat, en cours de radiothérapie ou plus tardivement lors de la rééducation d’une raideur de l’épaule ou encore après reconstruction mammaire) et selon le niveau de pratique antérieure de l’escalade par la patiente. Il prend également en compte l’impact de la pathologie en termes d’asthénie et état dépressif.
Pratique | Rythme : 1 séance par semaine (cycle de 7 semaines) Adaptation : Il est possible d’aménager les voies en réduisant les difficultés, que ce soit en site artificiel ou naturel. Adaptations et progression en fonction de l’évolution des capacités individuelles physiques et techniques. Démarrage par une pratique de type bloc, afin de familiariser les pratiquants avec le milieu et d’acquérir un minimum d’aisance. |
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Objectifs thérapeutiques | Toutes pathologies
Pathologies oncologiques et hématologiques
Prévention des pathologies de la personne avancée en âge
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