La nizatidine est un antagoniste sélectif des récepteurs H2à l'histamine. Son action est compétitive et totalement réversible. Il inhibe significativement la sécrétion gastrique acide basale et stimulée, en réduisant à la fois le volume secrétoire gastrique et la teneur en pepsine.
La nizatidine n'a pas d'effet significatif sur les concentrations sériques de gastrine, de gonadotrophines, de prolactine, d'hormone de croissance, d'hormone antidiurétique, de cortisol, de testostérone, de 5-alpha-dihydrotestostérone ou d'œstradiol.
Les fiches DCI Vidal constituent une base de connaissances pharmacologiques et thérapeutiques, proposée aux professionnels de santé, en complément des documents réglementaires publiés.
Nizatidine 150 mg gélule
Dernière modification : 15/04/2021 - Révision : NA
ATC | Risque sur la grossesse et l'allaitement | Dopant | Vigilance | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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A - VOIES DIGESTIVES ET METABOLISME A02 - MEDICAMENTS DES TROUBLES DE L'ACIDITE A02B - MEDICAMENTS DE L'ULCERE PEPTIQUE ET DU REFLUX GASTRO-OESOPHAGIEN (RGO) A02BA - ANTAGONISTES DES RECEPTEURS H2 A02BA04 - NIZATIDINE |
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INDICATIONS ET MODALITÉS D'ADMINISTRATIONNIZATIDINE 150 mg gélIndications
Ce médicament est indiqué dans les cas suivants :
- Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien
- Ulcère duodénal, traitement d'entretien (de l')
- Ulcère duodénal évolutif
- Ulcère gastrique évolutif
PosologieUnité de prisegélule- nizatidine : 150 mg
Modalités d'administration- Voie orale
Posologie Patient à partir de 15 an(s) Patient quel que soit le poids Ulcère duodénal évolutif - Ulcère gastrique évolutif - Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
Ulcère duodénal, traitement d'entretien (de l') - Posologie standard
- Administrer au coucher
- 150 mg 1 fois par jour
- Ne pas dépasser 1 an de traitement.
Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien - Posologie standard
- 150 à 300 mg 2 fois par jour
- Pendant 6 à 12 semaines
Populations particulières- Insuffisance hépatique : Adapter la posologie
- Insuffisance rénale : Adapter la posologie
Indications
Ce médicament est indiqué dans les cas suivants :
- Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien
- Ulcère duodénal, traitement d'entretien (de l')
- Ulcère duodénal évolutif
- Ulcère gastrique évolutif
PosologieUnité de prisegélule- nizatidine : 150 mg
Modalités d'administration- Voie orale
Posologie Patient à partir de 15 an(s) Patient quel que soit le poids Ulcère duodénal évolutif - Ulcère gastrique évolutif - Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
Ulcère duodénal, traitement d'entretien (de l') - Posologie standard
- Administrer au coucher
- 150 mg 1 fois par jour
- Ne pas dépasser 1 an de traitement.
Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien - Posologie standard
- 150 à 300 mg 2 fois par jour
- Pendant 6 à 12 semaines
Populations particulières- Insuffisance hépatique : Adapter la posologie
- Insuffisance rénale : Adapter la posologie
Unité de prisegélule- nizatidine : 150 mg
Modalités d'administration- Voie orale
Posologie Patient à partir de 15 an(s) Patient quel que soit le poids Ulcère duodénal évolutif - Ulcère gastrique évolutif - Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
Ulcère duodénal, traitement d'entretien (de l') - Posologie standard
- Administrer au coucher
- 150 mg 1 fois par jour
- Ne pas dépasser 1 an de traitement.
Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien - Posologie standard
- 150 à 300 mg 2 fois par jour
- Pendant 6 à 12 semaines
Populations particulières- Insuffisance hépatique : Adapter la posologie
- Insuffisance rénale : Adapter la posologie
- Voie orale
Posologie Patient à partir de 15 an(s) Patient quel que soit le poids Ulcère duodénal évolutif - Ulcère gastrique évolutif - Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
Ulcère duodénal, traitement d'entretien (de l') - Posologie standard
- Administrer au coucher
- 150 mg 1 fois par jour
- Ne pas dépasser 1 an de traitement.
Oesophagite due à un reflux gastro-oesophagien - Posologie standard
- 150 à 300 mg 2 fois par jour
- Pendant 6 à 12 semaines
Populations particulières- Insuffisance hépatique : Adapter la posologie
- Insuffisance rénale : Adapter la posologie
- Posologie standard
- Administrer en 1 prise le soir ou en 2 prises matin et soir
- 300 mg en 1 à 2 prises par jour
- Pendant 4 à 8 semaines
- Posologie standard
- Administrer au coucher
- 150 mg 1 fois par jour
- Ne pas dépasser 1 an de traitement.
- Posologie standard
- 150 à 300 mg 2 fois par jour
- Pendant 6 à 12 semaines
- Insuffisance hépatique : Adapter la posologie
- Insuffisance rénale : Adapter la posologie
INFORMATIONS RELATIVES À LA SÉCURITÉ DU PATIENTNIZATIDINE 150 mg gélNiveau de risque : X Critique III Haut II Modéré I Bas
Contre-indicationsX Critique Niveau de gravité : Contre-indication absolue - Hypersensibilité à l'un des composants
- Hypersensibilité aux antihistaminiques H2
PrécautionsII Modéré Niveau de gravité : Précautions- Enfant de moins de 15 ans
- Grossesse
- Insuffisance hépatique sévère
- Insuffisance rénale
- Sujet âgé
Interactions médicamenteusesIII Haut Niveau de gravité : Association déconseillée Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Posaconazole (suspension buvable)
Risques et mécanismes Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire. Conduite à tenir Uniquement avec la forme suspension buvable de posaconazole. Médicaments administrés par voie orale + Topiques gastro-intestinaux, antiacides et adsorbants
Risques et mécanismes Diminution de l'absorption de certains autres médicaments ingérés simultanément. Conduite à tenir Prendre les topiques ou antiacides, adsorbants à distance de ces substances (plus de 2 heures, si possible).
II Modéré Niveau de gravité : Précaution d'emploi Médicaments administrés par voie orale + Colestipol
Médicaments administrés par voie orale + Résines chélatrices
Risques et mécanismes La prise de résine chélatrice peut diminuer l'absorption intestinale et, potentiellement, l'efficacité d'autres médicaments pris simultanément. Conduite à tenir D'une façon générale, la prise de la résine doit se faire à distance de celle des autres médicaments, en respectant un intervalle de plus de 2 heures, si possible.
I Bas Niveau de gravité : A prendre en compte Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Abémaciclib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Axitinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Bosutinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Brigatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cabozantinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Céritinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cobimétinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Crizotinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Dabrafénib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Dasatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Erlotinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Fostamatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Géfitinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Giltéritinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ibrutinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Imatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Lapatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Larotrectinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Lorlatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Nilotinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Osimertinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Palbociclib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Pazopanib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ponatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ribociclib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ruxolitinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Sorafénib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Sunitinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Upadacitinib
Risques et mécanismes Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinase, en raison de son absorption pH-dépendante. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Acalabrutinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Fédratinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Pémigatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Pralsétinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Riprétinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Sélumétinib
Risques et mécanismes Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinases, en raison de son absorption pH-dépendante. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Atazanavir
Risques et mécanismes Risque de diminution des concentrations plasmatiques de l'atazanavir. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cobamamide (voie orale)
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cyanocobalamine (voie orale)
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Hydroxocobalamine (voie orale)
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Mécobalamine (voie orale)
Risques et mécanismes Risque de carence en cyanocobalamine après traitement prolongé (quelques années), la réduction de l'acidité gastrique par ces médicaments pouvant diminuer l'absorption digestive de la vitamine B12. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Itraconazole (voie orale)
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Kétoconazole (voie orale)
Risques et mécanismes Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Rilpivirine
Risques et mécanismes Risque de diminution des concentrations plasmatiques de la rilpivirine. Conduite à tenir Si nécessaire, utiliser un antihistaminique H2 actif en une prise par jour, à prendre au moins 12 heures avant, ou au moins 4 heures après. Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Sotorasib
Risques et mécanismes Risque de diminution de l'effet du sotorasib, par diminution de son absorption. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ulipristal
Risques et mécanismes Risque de diminution de l'effet de l'ulipristal, par diminution de son absorption. Conduite à tenir Médicaments administrés par voie orale + Laxatifs (type macrogol)
Risques et mécanismes Avec les laxatifs, notamment en vue d'explorations endoscopiques : risque de diminution de l'efficacité du médicament administré avec le laxatif. Conduite à tenir Eviter la prise d'autres médicaments pendant et après l'ingestion dans un délai d'au moins 2 h après la prise du laxatif, voire jusqu'à la réalisation de l'examen.
Grossesse et allaitement
Contre-indications et précautions d'emploi Grossesse (mois) Allaitement 1 2 3 4 5 6 7 8 9 Risques II II Précaution
Risques liés au traitement- Risque de multiplication bactérienne intragastrique
Information des professionnels de santé et des patients- S'assurer que le patient ne présente pas de tumeur digestive
Effets indésirables
Systèmes Fréquence de moyenne à élevée (?1/1 000) Fréquence basse (<1/1 000) Fréquence inconnue ANOMALIE DES EXAMENS DE LABORATOIRE Hypercholestérolémie
Transaminases (augmentation)
Hyperuricémie
Leucopénie
DERMATOLOGIE Hypersudation
Eruption cutanée
Prurit
DIVERS Asthénie
Douleur thoracique
HÉMATOLOGIE Pancytopénie
Thrombopénie
Anémie
Agranulocytose
HÉPATOLOGIE Hépatite
IMMUNO-ALLERGOLOGIE Hypersensibilité croisée
ORL, STOMATOLOGIE Rhinite
Pharyngite
PSYCHIATRIE Confusion mentale
Hallucination
Rêves anormaux
SYSTÈME CARDIOVASCULAIRE Vascularite leucocytoclasique
Bradycardie
SYSTÈME DIGESTIF Nausée
SYSTÈME MUSCULO-SQUELETTIQUE Douleur musculaire
SYSTÈME NERVEUX Céphalée
Somnolence
SYSTÈME RESPIRATOIRE Toux
UROLOGIE, NÉPHROLOGIE Impuissance
Niveau de risque : | X Critique | III Haut | II Modéré | I Bas |
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Contre-indicationsX Critique Niveau de gravité : Contre-indication absolue - Hypersensibilité à l'un des composants
- Hypersensibilité aux antihistaminiques H2
Niveau de gravité : Contre-indication absolue - Hypersensibilité à l'un des composants
- Hypersensibilité aux antihistaminiques H2
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PrécautionsII Modéré Niveau de gravité : Précautions- Enfant de moins de 15 ans
- Grossesse
- Insuffisance hépatique sévère
- Insuffisance rénale
- Sujet âgé
Niveau de gravité : Précautions- Enfant de moins de 15 ans
- Grossesse
- Insuffisance hépatique sévère
- Insuffisance rénale
- Sujet âgé
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Interactions médicamenteusesIII Haut Niveau de gravité : Association déconseillée Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Posaconazole (suspension buvable)
Risques et mécanismes Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire. Conduite à tenir Uniquement avec la forme suspension buvable de posaconazole. Médicaments administrés par voie orale + Topiques gastro-intestinaux, antiacides et adsorbants
Risques et mécanismes Diminution de l'absorption de certains autres médicaments ingérés simultanément. Conduite à tenir Prendre les topiques ou antiacides, adsorbants à distance de ces substances (plus de 2 heures, si possible).
II Modéré Niveau de gravité : Précaution d'emploi Médicaments administrés par voie orale + Colestipol
Médicaments administrés par voie orale + Résines chélatrices
Risques et mécanismes La prise de résine chélatrice peut diminuer l'absorption intestinale et, potentiellement, l'efficacité d'autres médicaments pris simultanément. Conduite à tenir D'une façon générale, la prise de la résine doit se faire à distance de celle des autres médicaments, en respectant un intervalle de plus de 2 heures, si possible.
I Bas Niveau de gravité : A prendre en compte Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Abémaciclib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Axitinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Bosutinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Brigatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cabozantinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Céritinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cobimétinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Crizotinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Dabrafénib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Dasatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Erlotinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Fostamatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Géfitinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Giltéritinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ibrutinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Imatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Lapatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Larotrectinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Lorlatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Nilotinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Osimertinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Palbociclib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Pazopanib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ponatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ribociclib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ruxolitinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Sorafénib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Sunitinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Upadacitinib
Risques et mécanismes Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinase, en raison de son absorption pH-dépendante. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Acalabrutinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Fédratinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Pémigatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Pralsétinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Riprétinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Sélumétinib
Risques et mécanismes Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinases, en raison de son absorption pH-dépendante. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Atazanavir
Risques et mécanismes Risque de diminution des concentrations plasmatiques de l'atazanavir. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cobamamide (voie orale)
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cyanocobalamine (voie orale)
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Hydroxocobalamine (voie orale)
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Mécobalamine (voie orale)
Risques et mécanismes Risque de carence en cyanocobalamine après traitement prolongé (quelques années), la réduction de l'acidité gastrique par ces médicaments pouvant diminuer l'absorption digestive de la vitamine B12. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Itraconazole (voie orale)
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Kétoconazole (voie orale)
Risques et mécanismes Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Rilpivirine
Risques et mécanismes Risque de diminution des concentrations plasmatiques de la rilpivirine. Conduite à tenir Si nécessaire, utiliser un antihistaminique H2 actif en une prise par jour, à prendre au moins 12 heures avant, ou au moins 4 heures après. Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Sotorasib
Risques et mécanismes Risque de diminution de l'effet du sotorasib, par diminution de son absorption. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ulipristal
Risques et mécanismes Risque de diminution de l'effet de l'ulipristal, par diminution de son absorption. Conduite à tenir Médicaments administrés par voie orale + Laxatifs (type macrogol)
Risques et mécanismes Avec les laxatifs, notamment en vue d'explorations endoscopiques : risque de diminution de l'efficacité du médicament administré avec le laxatif. Conduite à tenir Eviter la prise d'autres médicaments pendant et après l'ingestion dans un délai d'au moins 2 h après la prise du laxatif, voire jusqu'à la réalisation de l'examen.
Niveau de gravité : Association déconseillée Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Posaconazole (suspension buvable)
Risques et mécanismes Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire. Conduite à tenir Uniquement avec la forme suspension buvable de posaconazole. Médicaments administrés par voie orale + Topiques gastro-intestinaux, antiacides et adsorbants
Risques et mécanismes Diminution de l'absorption de certains autres médicaments ingérés simultanément. Conduite à tenir Prendre les topiques ou antiacides, adsorbants à distance de ces substances (plus de 2 heures, si possible).
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Posaconazole (suspension buvable) | |
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Risques et mécanismes | Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire. |
Conduite à tenir | Uniquement avec la forme suspension buvable de posaconazole. |
Médicaments administrés par voie orale + Topiques gastro-intestinaux, antiacides et adsorbants | |
Risques et mécanismes | Diminution de l'absorption de certains autres médicaments ingérés simultanément. |
Conduite à tenir | Prendre les topiques ou antiacides, adsorbants à distance de ces substances (plus de 2 heures, si possible). |
Niveau de gravité : Précaution d'emploi Médicaments administrés par voie orale + Colestipol
Médicaments administrés par voie orale + Résines chélatrices
Risques et mécanismes La prise de résine chélatrice peut diminuer l'absorption intestinale et, potentiellement, l'efficacité d'autres médicaments pris simultanément. Conduite à tenir D'une façon générale, la prise de la résine doit se faire à distance de celle des autres médicaments, en respectant un intervalle de plus de 2 heures, si possible.
Médicaments administrés par voie orale + Colestipol Médicaments administrés par voie orale + Résines chélatrices | |
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Risques et mécanismes | La prise de résine chélatrice peut diminuer l'absorption intestinale et, potentiellement, l'efficacité d'autres médicaments pris simultanément. |
Conduite à tenir | D'une façon générale, la prise de la résine doit se faire à distance de celle des autres médicaments, en respectant un intervalle de plus de 2 heures, si possible. |
Niveau de gravité : A prendre en compte Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Abémaciclib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Axitinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Bosutinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Brigatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cabozantinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Céritinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cobimétinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Crizotinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Dabrafénib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Dasatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Erlotinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Fostamatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Géfitinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Giltéritinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ibrutinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Imatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Lapatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Larotrectinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Lorlatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Nilotinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Osimertinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Palbociclib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Pazopanib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ponatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ribociclib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ruxolitinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Sorafénib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Sunitinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Upadacitinib
Risques et mécanismes Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinase, en raison de son absorption pH-dépendante. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Acalabrutinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Fédratinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Pémigatinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Pralsétinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Riprétinib
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Sélumétinib
Risques et mécanismes Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinases, en raison de son absorption pH-dépendante. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Atazanavir
Risques et mécanismes Risque de diminution des concentrations plasmatiques de l'atazanavir. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cobamamide (voie orale)
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cyanocobalamine (voie orale)
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Hydroxocobalamine (voie orale)
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Mécobalamine (voie orale)
Risques et mécanismes Risque de carence en cyanocobalamine après traitement prolongé (quelques années), la réduction de l'acidité gastrique par ces médicaments pouvant diminuer l'absorption digestive de la vitamine B12. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Itraconazole (voie orale)
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Kétoconazole (voie orale)
Risques et mécanismes Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Rilpivirine
Risques et mécanismes Risque de diminution des concentrations plasmatiques de la rilpivirine. Conduite à tenir Si nécessaire, utiliser un antihistaminique H2 actif en une prise par jour, à prendre au moins 12 heures avant, ou au moins 4 heures après. Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Sotorasib
Risques et mécanismes Risque de diminution de l'effet du sotorasib, par diminution de son absorption. Conduite à tenir Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ulipristal
Risques et mécanismes Risque de diminution de l'effet de l'ulipristal, par diminution de son absorption. Conduite à tenir Médicaments administrés par voie orale + Laxatifs (type macrogol)
Risques et mécanismes Avec les laxatifs, notamment en vue d'explorations endoscopiques : risque de diminution de l'efficacité du médicament administré avec le laxatif. Conduite à tenir Eviter la prise d'autres médicaments pendant et après l'ingestion dans un délai d'au moins 2 h après la prise du laxatif, voire jusqu'à la réalisation de l'examen.
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Abémaciclib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Axitinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Bosutinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Brigatinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cabozantinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Céritinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cobimétinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Crizotinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Dabrafénib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Dasatinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Erlotinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Fostamatinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Géfitinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Giltéritinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ibrutinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Imatinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Lapatinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Larotrectinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Lorlatinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Nilotinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Osimertinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Palbociclib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Pazopanib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ponatinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ribociclib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ruxolitinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Sorafénib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Sunitinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Upadacitinib | |
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Risques et mécanismes | Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinase, en raison de son absorption pH-dépendante. |
Conduite à tenir | |
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Acalabrutinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Fédratinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Pémigatinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Pralsétinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Riprétinib Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Sélumétinib | |
Risques et mécanismes | Risque de diminution de la biodisponibilité de l'inhibiteur de tyrosine kinases, en raison de son absorption pH-dépendante. |
Conduite à tenir | |
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Atazanavir | |
Risques et mécanismes | Risque de diminution des concentrations plasmatiques de l'atazanavir. |
Conduite à tenir | |
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cobamamide (voie orale) Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Cyanocobalamine (voie orale) Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Hydroxocobalamine (voie orale) Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Mécobalamine (voie orale) | |
Risques et mécanismes | Risque de carence en cyanocobalamine après traitement prolongé (quelques années), la réduction de l'acidité gastrique par ces médicaments pouvant diminuer l'absorption digestive de la vitamine B12. |
Conduite à tenir | |
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Itraconazole (voie orale) Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Kétoconazole (voie orale) | |
Risques et mécanismes | Diminution de l'absorption de l'azolé antifongique, par augmentation du pH intragastrique par l'antisécrétoire. |
Conduite à tenir | |
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Rilpivirine | |
Risques et mécanismes | Risque de diminution des concentrations plasmatiques de la rilpivirine. |
Conduite à tenir | Si nécessaire, utiliser un antihistaminique H2 actif en une prise par jour, à prendre au moins 12 heures avant, ou au moins 4 heures après. |
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Sotorasib | |
Risques et mécanismes | Risque de diminution de l'effet du sotorasib, par diminution de son absorption. |
Conduite à tenir | |
Antisécrétoires antihistaminiques H2 (voie systémique) + Ulipristal | |
Risques et mécanismes | Risque de diminution de l'effet de l'ulipristal, par diminution de son absorption. |
Conduite à tenir | |
Médicaments administrés par voie orale + Laxatifs (type macrogol) | |
Risques et mécanismes | Avec les laxatifs, notamment en vue d'explorations endoscopiques : risque de diminution de l'efficacité du médicament administré avec le laxatif. |
Conduite à tenir | Eviter la prise d'autres médicaments pendant et après l'ingestion dans un délai d'au moins 2 h après la prise du laxatif, voire jusqu'à la réalisation de l'examen. |
Grossesse et allaitement
Contre-indications et précautions d'emploi | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Risques liés au traitement- Risque de multiplication bactérienne intragastrique
Information des professionnels de santé et des patients- S'assurer que le patient ne présente pas de tumeur digestive
Effets indésirables
Systèmes | Fréquence de moyenne à élevée (?1/1 000) | Fréquence basse (<1/1 000) | Fréquence inconnue |
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DERMATOLOGIE | |||
DIVERS | |||
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SYSTÈME NERVEUX | |||
SYSTÈME RESPIRATOIRE | |||
UROLOGIE, NÉPHROLOGIE |
Voir aussi les substances
Nizatidine
Chimie
IUPAC | N-[2-(2-diméthylaminométhylthiazol-4-ylméthylthio)éthyl]-N'-méthyl-2-nitrovinylidènediamine |
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Posologie
Defined Daily Dose (WHO) |
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